Un conseil aux ennemis du peuple noir: ALLEZ-VOUS EN!
L’IDEE FAIT SON CHEMIN, VA T-ELLE ABOUTIR?
Le sommet de l’Union africaine (UA), consacré à l’intégration du continent, s’est conclu mardi sans accord sur un calendrier pour l’établissement d’un gouvernement continental, selon la déclaration finale de la réunion à Accra.
Le projet d’Etats Unis d’Afrique, soutenu notamment par la Libye, a par contre été renvoyé devant quatre commissions dont les conclusions seront présentées à un comité de chefs d’Etats « qui fera les recommandations appropriées à la prochaine session ordinaire » de l’UA, a déclaré le président ghanéen, John Kufuor, en clôturant les trois jours de sommet!
A Accra, les responsables africains se sont montré divisés sur un projet de constitution d’un gouvernement commun et la création des « Etats-Unis d’Afrique », idée avancée par le dirigeant libyen Mouammar Khadafi, qui prévoyait 15 portefeuilles, dont un pour la Défense, un pour les Affaires étrangères et un autre pour le Commerce extérieur ».
« Nous n’allons pas copier telle ou telle (union) que vous pouvez connaître comme les Etats-Unis d’Amérique ou l’UE mais (nous allons faire) quelque chose (…) qui convienne à notre continent », a notamment déclaré à la presse le président du Ghana. L’une des commissions commanditées par le sommet devra travailler sur « le concept d’un gouvernement d’union et ses relations avec les gouvernements nationaux » tandis qu’une autre examinera « les domaines de compétence et l’impact de l’établissement de la souveraineté » des Etats. Les deux autres se concentreront sur « l’élaboration d’une feuille de route et d’un calendrier pour l’établissement d’un gouvernement commun » et comment un tel projet pourra être financé. L’idée que l’Afrique pourrait être renforcée en s’unifiant avait été promue par le fondateur du Ghana Kwame Nkrumah et le sommet d’Accra coïncide avec le 50e anniversaire de l’indépendance du pays, le premier du continent à se libérer du colonialisme. Les responsables dans leur communiqué final ont rappelé la vision de Nkrumah pour le continent. Mais certains chefs d’Etat, tel le Sud-africain Thabo Mbeki, qui avait lancé l’UA à un sommet à Durban en 2002, a souhaité donner à l’organisation plus de temps pour mûrir.
A Abidjan, Kadhafi appelle les Africains à s’unir face à l’Occident
Le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, en visite à Abidjan, a appelé mercredi soir les Africains à s’unir pour résister à l’Occident lors du prochain sommet de l’Union africaine à Accra.
“Nous devons construire un Etat puissant, un seul gouvernement africain, une seule armée d’un effectif de 2 millions de soldats, une seule monnaie, une identité africaine, un seul passeport”, a lancé M. Kadhafi, très applaudi par plus de 5.000 personnes venues le voir et l’écouter dans une salle du quartier populaire de Treichville où était organisé un meeting avec le président ivoirien Laurent Gbagbo et le Premier ministre Guillaume Soro.
Le “guide de la révolution” était arrivé dans l’après-midi à Abidjan, dernière étape de la tournée ouest-africaine qui doit s’achever dimanche par le sommet des chefs d’Etat de l’Union africaine (UA) organisé à Accra, au Ghana.
A Abidjan, comme ces derniers jours au Mali, en Guinée puis en Sierra Leone, le dirigeant libyen a plaidé pour la création des “Etats-Unis d’Afrique”, qui sera l’un des sujets abordés à Accra.
“Il faut qu’Accra entende cette voix. La décision est dans la main des peuples africains”, a souligné le dirigeant libyen, habillé d’un costume à l’occidentale blanc et d’une chemise verte vive, du même vert que l’effigie de l’Afrique cousue sur sa veste blanche côté gauche, au niveau du coeur.
“Nous ferons entendre notre voix aux congressistes d’Accra. L’UA a été créée il y a quatre ans (mais) rien n’a changé en Afrique. La situation a même plutôt empiré”, a souligné M. Kadhafi.
Il a dénoncé “le pillage de l’Afrique” par les Occidentaux, qui “continue de plus belle”. “Ils nous ont traité comme des animaux”, a-t-il accusé, acclamé par un public majoritairement formé de partisans de M. Gbagbo, qui a lui aussi largement dénoncé le colonialisme, notamment français, ces dernières années.
“Nous sommes des hommes libres. L’Afrique est la propriété des Africains”, a-t-il ajouté, avant d’appeler à la fin des guerres civiles, conséquence selon lui de “l’action du colonialisme”, sur le continent.
Il a ensuite appelé les “jeunes de Côte d’Ivoire à appuyer” son “frère, le révolutionnaire, le président Gbagbo” et son “fils Soro”, qui “ont décidé d’arrêter de faire couler le sang Africain”.
“Notre pays a trébuché (…) mais nous sommes en train de nous relever. Soutenez les efforts de la paix et du processus de sortie de crise”, avait de son côté déclaré le président Gbagbo en ouvrant le meeting.
Il s’agit de la première visite de M. Kadhafi en Côte d’Ivoire, ont précisé les autorités ivoiriennes.
Il y a été accueillis par très nombreux responsables politiques, religieux et chefs traditionnels, et plusieurs milliers d’Ivoiriens.
Une partie d’entre eux, partisans de M. Gbagbo mobilisés pour la circonstance, l’ont acclamé à son arrivée et lors du meeting.
Plusieurs centaines d’autres, curieux qui n’ont guère eu l’occasion d’assister à de telles visites officielles ces dernières années, s’étaient massés le long de la route qui mène de l’aéroport au centre ville.
A l’issue de son séjour à Abidjan, dont la durée reste inconnue, M. Kadhafi doit prendre la route d’Accra au sein d’un imposant cortège de voitures.
Ce déploiement de véhicules, avions cargo et gardes du corps participe au folklore de la tournée ouest-africaine du leader libyen.
Mis à l’index par l’Occident et isolé au sein du monde arabe après l’attentat de Lockerbie (Ecosse) de décembre 1988, Mouammar Kadhafi s’est tourné vers l’Afrique noire à partir des années 90, tissant notamment des liens étroits avec le président burkinabè Blaise Compaoré, et soutenant M. Gbagbo.
Le 9è sommet des chefs d’Etat et de gouvernement des 53 pays membres de l’Union africaine (UA) a abordé dès son ouverture dimanche à Accra la création des Etats-Unis d’Afrique et la mise en place d’un gouvernement unique de l’Union, mais également le dossier du Darfour.
Dans son discours d’ouverture, le président de la Commission de l’UA, Alpha Oumar Konaré, a énoncé les arguments en faveur du renforcement de l’intégration du continent et tenté de convaincre les plus réticents.
« Aujourd’hui nous avons besoin d’une décision politique forte parce que l’intégration est une action politique forte », a-t-il dit.
« Un leadership africain fort devrait se saisir de toutes les questions (que l’Afrique doit résoudre) pour permettre l’accélération du processus d’intégration », a-t-il ajouté, évoquant la possibilité que « deux, trois ou cinq pays puissent décider de se fédérer pour accélérer l’intégration ».
Principal partisan des Etats-Unis d’Afrique, le chef de l’Etat libyen, Mouammar Kadhafi, s’est efforcé en juin de rallier ses pairs à la cause de l’unité africaine. Mais il a boudé l’ouverture du sommet dimanche.
Arrivé à Accra par la route, il venait Côte d’Ivoire, après avoir traversé la Sierra Leone, le Liberia et la Guinée. Au début du mois, il avait organisé un sommet de l’organisation régionale qu’il a lancée en 1998, la Communauté des Etats sahélo-sahariens (CEN-SAD, 25 pays) pour tenter de dégager une voix unanime sur le sujet.
Dans les couloirs de la conférence, des délégués expliquent que la tension est grande entre le « Guide » libyen, qui voulait prononcer un discours à l’ouverture du sommet mais en a semble-t-il été empêché, et les adversaires du projet des Etats-Unis d’Afrique, au premier rang desquels on trouve le Sud-Africain Thabo Mbeki.
Sur cette question, « il y a deux écoles, la maximaliste incarnée par la Libye et le Sénégal par exemple qui veulent créer un gouvernement immédiatement avec des ministres de l’Afrique », explique Delphine Lecoutre, chercheuse au Centre français des études éthiopiennes à Addis Abeba et collaboratrice de l’Institut des études stratégiques sud-africain.
« L’autre école, c’est l’approche gradualiste: renforcer l’intégration sous-régionale d’abord, et si ça marche, entreprendre l’intégration continentale », ajoute-t-elle.
fulele « Personnellement je préfère l’approche Gradualiste qui est méthodique l’autre risque dans la précipitation de vouer se projet à l’échec Ce que souhaiteront certainement les puissances Occidentales. »
Pour l’hôte du sommet et président en exercice de l’UA, le Ghanéen John Kufuor, « la question de l’unification n’est pas mise en doute. Nous devrions être capables d’un accord sur la sorte de gouvernement que nous voulons et sur une feuille de route avec des dates pour sa réalisation ». Il a également prôné un « renforcement de la Commission de l’UA ».
Transmit par H’BROWN
Dire qu’un grand homme nommé Krumah l’a dit un jour et il a fallu tout ce temps à nos soi-disant dirigéants pour se rendre compte de la véracité de ces propos et la nécessité d’une Afrik unie. espérons que cela ne soit pas des paroles en l’air pour faire bien et que cette fois-ci la parole soit liée à l’action. En tout cas je veux y croire. ne dit-on pas « Mieux vaut tard que jamais »? Je croise les doigts.
En tout cas, l’auteur de « petite leçon d’histoire à l’attention de Nicolas Sarkozy » (une des auteurs en faite) ne m’a pas contredit.
pour mes sources: « Dictionnaire de l’afrique » Bernard Nantet
« Les africains histoire d’un continent » Iliffe
« La France en Afrique » Jean paul gaurévitch
« Histoire des antilles françaises » Paul Butel
« 100 clés de l’Afrique » Thirry Perret et Philippe Leymarie
« L’europe et le monde au XVIIIème siècle » Michel Devèze
« Le code noirs, de l’esclavage aux abolitions » de Christianne Taubira
« Histoire de l’amérique française » Gilles Havard et Cécile Vidal
« L’empire colonial français dans la stratégie du troisième Reich » Chantal Metzger
Je ne vous donne là que les bouquins de ma bibliothèque personnelle que j’ai eut le courage de vidé des étagères (il faut que je tris et reclasse tout cela)
J’espère que vous vous montrerez plus confiance en le sérieux de ma documentation à l’avenir.
je vois que tu as beaucoup de source d’auteur africain.
J e crois que c’est le problème.Nous nous lisons tant les auteirs africains qu’ occidentaux. Alors lis donc nos auteur aussi.
http://fulele.unblog.fr/a-ne-pas-rater/
La moitier des auteurs européens sont des tiers mondiste ayant une haine de leurs histoire nationales et qui veulent la faire disparaitre par l’europe et son prèt à charger leurs ancètres de tout se que vous voulez.
C’est plus de la « repentence » c’est du masochisme!
Alors, losrque ces individus vous disent à un moment que leurs ancètres n’ont pas fait au moins une petite connerie, ils sont assé crédible!
C’est interressant aussi de lire « De l’utilité des empires », j’ai la flemme de le recherché, vous trouverez l’auteur tout seul.
Pour lire des auteurs africains, je vous conseil: Axelle Kabou et Amadhou Kourouma.
Vue leur onomastique vous me croirez si je vous dit qu’il ne sont pas européen.
Il y a d’autres voies plus constructives que la votre.
Pour en revenir à nos moutons, il faut plusieurs institutions.
Tout dabord un conseil des institutions sous régionales: CEDEAO UMOA COI…
Cette institution d’experts nommées au seins des états membres de chaque organisation. Le but étant la mise en place des programmes de dévellopement type NEPAD.
Ensuite, il faut un pacte de défense incluent tout les états inscrits territorialements dans l’ensemble africains contre des agressions externes.
Il faut la création de postes de membres associer à la réunion des chefs d’états africains pour les états « africains d’outre mer » et les états inscrits territorialement en afrique.
Pour ce qui est un poste de chef d’état de de ce que j’aimerai nomer la « Confédération PanAfricaine » je ne suis pas certains des atributions quilui serait propres.
Enfin, pour la question de l’enseignement et des langues. Des partenariat devrait etre envisager avec la ligue arabe, la Francophonie, le commonwealth, la lusophonie ainsi qu’avec un organisme swalisophone a créer plus un organisme de dévellopement des langues africaines. Le but étant la création d’un système plurilingue ou les grandes villes serait globalement de la langue de diffusion régionale, les villes secondaires et les campagnes de langue nationale ou régionale.
Pour le problème d’une capitale confédérale, le choix d’une ville centrafricaine ou tchadienne me semble bon pour des raisons géographiques et symboliques.
Mon « afrique uni » vous parait elle etre une bonne base?
Merci pour ta contribution c’est la seul chose qui compte.
L’on m’a invité précédement à présenté mon travail, je vous fait donc connaitre l’un des passages de la dernières des cinq parties de mon livre « Les trois cercles ». J’espère que cela vous interressera et permettra de remonté le débat qui est dernièrement tombé dans la fange des attaques personnelles. « Il y a une autre œuvre que la France doit prendre à cœur et plus que tout doit réussir. Comme nous l’avons vu, la France est un espace d’interface entre Europe et Afrique, cette situation de fait ancienne et renouvelée par des tendances lourdes doit s’inscrire dans le droit international. Nous l’avons vue, la France touche de l’africanité. Elle l’est partiellement par sa population, par son histoire, par sa souveraineté, par son comportement, par ses aspirations par ses engagements et par son intégration sous régionale dans une organisation africaine. Cette tendance à la fusion ne va pas s’inverser dans les prochaines décennies bien au contraire. Déjà, le président M’Béki a déclaré la France « citoyenne d’honneur de l’Afrique ». L’ancienneté et la continuité des liens de la France et une vingtaine d’états africains ainsi qu’avec le continent dans son ensemble justifient cette affirmation. Ainsi, la participation de la quasi totalité des états africains aux sommets France-Afrique est une illustration de l’appartenance de la France de fait à la communauté politique africaine. Le président sénégalais Wade a d’ailleurs donné une dimension supérieure à cette inscription de la France dans l’espace africain en estimant que les états inscrits territorialement dans les Antilles, dont la population est d’origine africaine, ont vocation à avoir une place au sein de l’ensemble politique africain avec un statut aménagé. La France semble donc légitimement pouvoir disposer d’un siège de membre associé à l’union africaine du fait de sa souveraineté sur la Réunion et sur Mayotte. De fait, l’Union Africaine respectueuse du droit des peuples à disposer d’eux même ne peut nier à ces peuples le droit de vouloir rester français et européens mais elle ne peut pas décemment non plus leur nier leur qualité d’africain. C’est d’ailleurs à cette position de sagesse que s’est résolue l’ONU en 1995 en renonçant à demander le rattachement de Mayotte aux Comores tout comme la France a fait preuve de sagesse depuis 1997 en refusant d’annexer Anjouan pourtant offerte par ses habitants et en contribuant en 2008 à la réunion de l’île à la République des Comores. N’oublions pas que maintenir la Réunion et Mayotte hors de l’Union Africaine est une injustice faite à un million d’africains du seul fait qu’ils sont aussi français. Ce serait là une injustice d’autant plus lourde si la proposition du gouvernement Wade était entérinée et que les antillais non français étaient représentés à l’Union Africaine et que l’on refusait antillais français, réunionnais et mahorais du seul fait qu’ils sont français. Donner une place à la France de part son inscription territoriale africaine, voire antillaise, est donc une question de cohérence et de justice. Ce serait d’ailleurs là l’occasion de régler le problème de Mayotte. En effet, l’île une fois rentrée au sein de l’Union Africaine le litige à son propos entre la France et la République des Comores pourrait être réglé par une souveraineté partagée et ce sous l’égide de l’Union Africaine. Comme membre associé, la France ne disposerait évidement pas tout à fait des mêmes prérogatives qu’un membre de plein droit. Son statut serait l’équivalent de celui que Wade prévoit de proposer aux états antillais. Elle sera habilitée à assister à l’ensemble des réunions des différentes instances panafricaines par ses représentants ainsi que d’y faire entendre sa voix mais n’aurait qu’une voie consultative (sauf pour ce qui concerne les territoires sous sa souveraineté). Il n’y a aucun barrage juridique à cela. L’acceptation de la France au sein d’une organisation sous-régionale africaine (la Commission de l’Océan Indien) suffisant à affirmer sa légitimité à rentrer dans l’organisation continentale. Il y aurait là la mise en place d’une situation très originale et féconde aussi bien pour l’Europe et l’Afrique que pour la France. Les dialogues Euro-Africains trouveraient ainsi un intermédiaire tout indiqué et qui aurait intérêt à ce que ceux-ci soient constructifs. L’Afrique pourrait en permanence faire plaider sa cause en Europe comme l’Europe faire entendre sa voix en Afrique le tout sans que cela ne soit contraignant pour les deux organisations régionales dont l’expérience a montré les nombreux intérêts communs ainsi que la complémentarité. Pour la France ce serait enfin la mise en conformité d’une situation déjà ancienne et marquée par exemple par l’institution des sommets France-Afrique qualifiés par les spécialistes sommet de l’Union Africaine bis. De fait, ces sommets marquent régulièrement le fait que la France est un acteur africain, l’adhésion de la France comme membre associé à l’Union Africaine le ferait rentrer dans le droit. La France pourrait approfondir son investissement dans une Afrique qui serait réaffirmé comme l’une de ses priorités. Cela serait bien évidement vrai de l’espace francophone mais aussi de l’Afrique du Sud avec laquelle la France a un intérêt commun fondamental à savoir la paix, la stabilité, la sécurité et le développement du continent. L’interdépendance de fait qui va s’accentuer dans le temps va s’inscrire dans la réalité géopolitique renforçant la vocation de la France à être un pont entre l’Europe et l’Afrique. »
Baraton si tu es un blanc et de surcroît un français ta proposition à du sens et un intérêt.
Si tu es un africain n’ayant jamais eu accès aux ouvrage de Anta Diop notement Alerte sous les Tropiques – Culture et Développement en Afrique noire – Articles 1946-1960 là encore cela peut ce comprendre.
Mais si tu es tout le contraire de ce que je viens de cité ci-dessus et cela se serait su tu n’aurait pas fait ce type de proposition.
Alors lie le livre que j’ai cité et tu auras une idée de ma position.
Fulele,
je trouve que tu perds ton temps à discuter avec ce baraton! pense plutôt à oeuvrer pour ton peuple, à permettre aux kemit de sortir de l’aliénation et de permettre l’Uhem Mesut (renaissance kemit)!
combien de fois lui avons nous dit de lire Cheikh anta diop, et jamais il ne l’a fait? les solutions ne sortent pas d’un chapeau de magicien, mais résulte d’un travail concret sur le terrain, selon les réalités concrètes de kemet!
et cela, Diop (dans les ouvrages que tu viens de citer), marcus garvey, et bien d’autres, qui ont été sur le terrain, et qui maîtrisent la société kemit et son paradigme, ont développer des solutions concrètes et efficaces qu’il faut!
travailler pour appliquer ces solutions sur le terrain ,plutôt que de nous occuper des gens qui nous font perdre un temps précieux et considérables!
nous n’avons plus ce temps.. surtout pour des leuco qui ne bossent que pour cela! je juge que baraton n’es pas crédible pour permettre un débat consistant ou sérieux! car il n’en fait qu’à sa tête!
« Baraton si tu es un blanc et de surcroît un français ta proposition à du sens et un intérêt. » En confirmant que je suis citoyen français, je prend cette phrase de fulele pour un réel honneur qui m’est fait.
J’espèr que ce passage vous aura sensibilisé au fait que les africain ou déscendant d’africin de France (métropole comme outre mer) on le droit de touché de l’africanité institutionelle sans renier leur appartenance à la nation française.
Pour diop je vous l’est mis dans un autre commentair je crois j’ai lu « NATIONS NEGRES ET CULTURE » et j’en lirait d’autres. De la meme manière que je lis le livre (non édité) d’un de vos partisans intitulé « à propos des noirs (de l’auteur dusite société des historiens du congo »).
Vous ne pouvez pas m’accusé de ne pas m’ouvrir à votre pensé. Je m’y ouvre et autant que fair se peut je la resecte.
Je remercie fulele et quelque autres d’en faire de même avec ma pensée.
alors qu’as tu tiré de Diop ? et quels sont les reproches que tu fais à son étude ?
à nouveau, concrètement !
il tire des conclusions sur des éléments trop peu solides et manquant de crédibilité pour l’afrique contemporaine car ne prenant pas en cause ce que l’afrique a acquis depuis 2500 ans.
Il confond alliénation et nouveauté.
L’effort est louable mais il pèche par excès de certitude. Vous en etes trop souvent les héritiers en ligne directe sur ce point.