Un conseil aux ennemis du peuple noir: ALLEZ-VOUS EN!
L’IDEE FAIT SON CHEMIN, VA T-ELLE ABOUTIR?
Le sommet de l’Union africaine (UA), consacré à l’intégration du continent, s’est conclu mardi sans accord sur un calendrier pour l’établissement d’un gouvernement continental, selon la déclaration finale de la réunion à Accra.
Le projet d’Etats Unis d’Afrique, soutenu notamment par la Libye, a par contre été renvoyé devant quatre commissions dont les conclusions seront présentées à un comité de chefs d’Etats « qui fera les recommandations appropriées à la prochaine session ordinaire » de l’UA, a déclaré le président ghanéen, John Kufuor, en clôturant les trois jours de sommet!
A Accra, les responsables africains se sont montré divisés sur un projet de constitution d’un gouvernement commun et la création des « Etats-Unis d’Afrique », idée avancée par le dirigeant libyen Mouammar Khadafi, qui prévoyait 15 portefeuilles, dont un pour la Défense, un pour les Affaires étrangères et un autre pour le Commerce extérieur ».
« Nous n’allons pas copier telle ou telle (union) que vous pouvez connaître comme les Etats-Unis d’Amérique ou l’UE mais (nous allons faire) quelque chose (…) qui convienne à notre continent », a notamment déclaré à la presse le président du Ghana. L’une des commissions commanditées par le sommet devra travailler sur « le concept d’un gouvernement d’union et ses relations avec les gouvernements nationaux » tandis qu’une autre examinera « les domaines de compétence et l’impact de l’établissement de la souveraineté » des Etats. Les deux autres se concentreront sur « l’élaboration d’une feuille de route et d’un calendrier pour l’établissement d’un gouvernement commun » et comment un tel projet pourra être financé. L’idée que l’Afrique pourrait être renforcée en s’unifiant avait été promue par le fondateur du Ghana Kwame Nkrumah et le sommet d’Accra coïncide avec le 50e anniversaire de l’indépendance du pays, le premier du continent à se libérer du colonialisme. Les responsables dans leur communiqué final ont rappelé la vision de Nkrumah pour le continent. Mais certains chefs d’Etat, tel le Sud-africain Thabo Mbeki, qui avait lancé l’UA à un sommet à Durban en 2002, a souhaité donner à l’organisation plus de temps pour mûrir.
A Abidjan, Kadhafi appelle les Africains à s’unir face à l’Occident
Le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, en visite à Abidjan, a appelé mercredi soir les Africains à s’unir pour résister à l’Occident lors du prochain sommet de l’Union africaine à Accra.
“Nous devons construire un Etat puissant, un seul gouvernement africain, une seule armée d’un effectif de 2 millions de soldats, une seule monnaie, une identité africaine, un seul passeport”, a lancé M. Kadhafi, très applaudi par plus de 5.000 personnes venues le voir et l’écouter dans une salle du quartier populaire de Treichville où était organisé un meeting avec le président ivoirien Laurent Gbagbo et le Premier ministre Guillaume Soro.
Le “guide de la révolution” était arrivé dans l’après-midi à Abidjan, dernière étape de la tournée ouest-africaine qui doit s’achever dimanche par le sommet des chefs d’Etat de l’Union africaine (UA) organisé à Accra, au Ghana.
A Abidjan, comme ces derniers jours au Mali, en Guinée puis en Sierra Leone, le dirigeant libyen a plaidé pour la création des “Etats-Unis d’Afrique”, qui sera l’un des sujets abordés à Accra.
“Il faut qu’Accra entende cette voix. La décision est dans la main des peuples africains”, a souligné le dirigeant libyen, habillé d’un costume à l’occidentale blanc et d’une chemise verte vive, du même vert que l’effigie de l’Afrique cousue sur sa veste blanche côté gauche, au niveau du coeur.
“Nous ferons entendre notre voix aux congressistes d’Accra. L’UA a été créée il y a quatre ans (mais) rien n’a changé en Afrique. La situation a même plutôt empiré”, a souligné M. Kadhafi.
Il a dénoncé “le pillage de l’Afrique” par les Occidentaux, qui “continue de plus belle”. “Ils nous ont traité comme des animaux”, a-t-il accusé, acclamé par un public majoritairement formé de partisans de M. Gbagbo, qui a lui aussi largement dénoncé le colonialisme, notamment français, ces dernières années.
“Nous sommes des hommes libres. L’Afrique est la propriété des Africains”, a-t-il ajouté, avant d’appeler à la fin des guerres civiles, conséquence selon lui de “l’action du colonialisme”, sur le continent.
Il a ensuite appelé les “jeunes de Côte d’Ivoire à appuyer” son “frère, le révolutionnaire, le président Gbagbo” et son “fils Soro”, qui “ont décidé d’arrêter de faire couler le sang Africain”.
“Notre pays a trébuché (…) mais nous sommes en train de nous relever. Soutenez les efforts de la paix et du processus de sortie de crise”, avait de son côté déclaré le président Gbagbo en ouvrant le meeting.
Il s’agit de la première visite de M. Kadhafi en Côte d’Ivoire, ont précisé les autorités ivoiriennes.
Il y a été accueillis par très nombreux responsables politiques, religieux et chefs traditionnels, et plusieurs milliers d’Ivoiriens.
Une partie d’entre eux, partisans de M. Gbagbo mobilisés pour la circonstance, l’ont acclamé à son arrivée et lors du meeting.
Plusieurs centaines d’autres, curieux qui n’ont guère eu l’occasion d’assister à de telles visites officielles ces dernières années, s’étaient massés le long de la route qui mène de l’aéroport au centre ville.
A l’issue de son séjour à Abidjan, dont la durée reste inconnue, M. Kadhafi doit prendre la route d’Accra au sein d’un imposant cortège de voitures.
Ce déploiement de véhicules, avions cargo et gardes du corps participe au folklore de la tournée ouest-africaine du leader libyen.
Mis à l’index par l’Occident et isolé au sein du monde arabe après l’attentat de Lockerbie (Ecosse) de décembre 1988, Mouammar Kadhafi s’est tourné vers l’Afrique noire à partir des années 90, tissant notamment des liens étroits avec le président burkinabè Blaise Compaoré, et soutenant M. Gbagbo.
Le 9è sommet des chefs d’Etat et de gouvernement des 53 pays membres de l’Union africaine (UA) a abordé dès son ouverture dimanche à Accra la création des Etats-Unis d’Afrique et la mise en place d’un gouvernement unique de l’Union, mais également le dossier du Darfour.
Dans son discours d’ouverture, le président de la Commission de l’UA, Alpha Oumar Konaré, a énoncé les arguments en faveur du renforcement de l’intégration du continent et tenté de convaincre les plus réticents.
« Aujourd’hui nous avons besoin d’une décision politique forte parce que l’intégration est une action politique forte », a-t-il dit.
« Un leadership africain fort devrait se saisir de toutes les questions (que l’Afrique doit résoudre) pour permettre l’accélération du processus d’intégration », a-t-il ajouté, évoquant la possibilité que « deux, trois ou cinq pays puissent décider de se fédérer pour accélérer l’intégration ».
Principal partisan des Etats-Unis d’Afrique, le chef de l’Etat libyen, Mouammar Kadhafi, s’est efforcé en juin de rallier ses pairs à la cause de l’unité africaine. Mais il a boudé l’ouverture du sommet dimanche.
Arrivé à Accra par la route, il venait Côte d’Ivoire, après avoir traversé la Sierra Leone, le Liberia et la Guinée. Au début du mois, il avait organisé un sommet de l’organisation régionale qu’il a lancée en 1998, la Communauté des Etats sahélo-sahariens (CEN-SAD, 25 pays) pour tenter de dégager une voix unanime sur le sujet.
Dans les couloirs de la conférence, des délégués expliquent que la tension est grande entre le « Guide » libyen, qui voulait prononcer un discours à l’ouverture du sommet mais en a semble-t-il été empêché, et les adversaires du projet des Etats-Unis d’Afrique, au premier rang desquels on trouve le Sud-Africain Thabo Mbeki.
Sur cette question, « il y a deux écoles, la maximaliste incarnée par la Libye et le Sénégal par exemple qui veulent créer un gouvernement immédiatement avec des ministres de l’Afrique », explique Delphine Lecoutre, chercheuse au Centre français des études éthiopiennes à Addis Abeba et collaboratrice de l’Institut des études stratégiques sud-africain.
« L’autre école, c’est l’approche gradualiste: renforcer l’intégration sous-régionale d’abord, et si ça marche, entreprendre l’intégration continentale », ajoute-t-elle.
fulele « Personnellement je préfère l’approche Gradualiste qui est méthodique l’autre risque dans la précipitation de vouer se projet à l’échec Ce que souhaiteront certainement les puissances Occidentales. »
Pour l’hôte du sommet et président en exercice de l’UA, le Ghanéen John Kufuor, « la question de l’unification n’est pas mise en doute. Nous devrions être capables d’un accord sur la sorte de gouvernement que nous voulons et sur une feuille de route avec des dates pour sa réalisation ». Il a également prôné un « renforcement de la Commission de l’UA ».
Transmit par H’BROWN
Dire qu’un grand homme nommé Krumah l’a dit un jour et il a fallu tout ce temps à nos soi-disant dirigéants pour se rendre compte de la véracité de ces propos et la nécessité d’une Afrik unie. espérons que cela ne soit pas des paroles en l’air pour faire bien et que cette fois-ci la parole soit liée à l’action. En tout cas je veux y croire. ne dit-on pas « Mieux vaut tard que jamais »? Je croise les doigts.
Sur le fond ,il est claire qu’il n’y a pas matière à tergiverser. Cependant les discenssion s sont sur la manière . Et à ce niveau ,je prône plutôt l’école maximaliste .
Car Il faut dire que les tentatives d’approches graduelles ne sont pas nouvelles ;et ont jusqu’ici tjrs été vouées à l’échec . Notament parcequ’elle sont lentes ,et laisse une marge de manoeuvre aisée à ceux qui sont les adversaires d’un tel processus.Je vais pas vous faire un dessin sur ce que ça deviendrait pour la france si toutes les régions Africaines avaient un droit de regard sur la gestion des ressources naturelle(l’uranium au congo ,le pétrole et le bois etc …au Gabon et j’en passe …).Une métamorphose rapide ,claire sans bavure serait un vrai couperais à leur politiques de pillages .De plus ,le vote systématique de certains pays à l’onu qui doit tjrs ce faire en leur faveur ,n’aurait plus lieu d ‘être .En claire ,c’est l’occasion d’une vraie décolonisation . Je vous rappel ,pour ceux qui ont fait un peu d’histoire en Afrique ,que le but des frontières arbitrairement créées à l’époque coloniale était de permettre un meilleurs contrôl des régions pour les colombs…Ceux qui connaissent savent que le cameroun ,le Gabon et le congo sont un même groupe (bantu) diviser .On y retrouve des langues commune etc…
En gros il s’agissait de diviser pour mieux reigner . Je suis à font dans l’entreprise de M Kadhafi(dont nous connaisant l’histoire) ,qui finalment n’a pour unique enjeu de fédérer dans les plus brêves délais les énergies du continant.J’ai envi de dire c’est maintenant,ou jamais …Et l’Afrique disparait …
A mon avis, il ne faut pas laisser les politiques s’occuper et se saisir seuls de cette question de l’unité de l’Afrik! il faut que chacun de son côté prenne l’initiative de faire une action qui incitera les autres à cette unité!cela passe notamment par la culture, l’art, la musique…et il faut que le peuple afrikain mette de son côté la pression à ses dirigeants afin que ceux-ci cessent de dormir et de reposer sur une dicdature héritée du colon!il faut sonner le tocsin!
Cela fait des décennies que l’on parle d’unon de l’afrique mais malheureusement il n’ya pas d’union et cela pour plusieurs raisons la première qui est souce de grand bloccage est la présence des dictateurs africains qui sont à 95% soutenus par l’occident pour couvrir les intérets des pays riches et leurs propres intérets à savoir rester au pouvoir durant des décennies sans chercher à faire prospérer l’Afrique de façon à ce que les peuples africains vivent dans le bonheur aient une certaine dignité et ne cherchent pas à passer par des moyens litigieux qui malheureusement pour des millions les poussent à chercher à venir en europe de façon illégale tout ceci parce que les pays africains s’enfoncent d’années en année.
Personnellement étant africain et fier de l’etre je suis partant pour une union africaine pas de bouche mais avec les actes mais si nos dirigeants ne cherchent pas à trouver un compromis visant à expliquer que cette union doit etre réalisée dans l’intéret des pays africains et que les peuples se sentent enfin chez eux et par conséquent veulent la paix si la majorité des chefs d’état veulent toujours se sentir bas face à l’occident et accepter toute forme de soumission l’union africaine ne peut pas avoir des conséquences positives pour nos pays .
Il est impératif qu’est lieu cette union car j’ai bien peur que l’afrique ne se réveille pas pour de bons ce que Khadafi a proposé en se rendant en Cote d’ivoire est important car il n’est pas normal que nos pays soient toujours sous l’emprise de l’occident et cette emprise ne permet pas aux pays africains d’adopter une politique juste,équitable mais plutot une poltique orchestrée par l’occident visant à destabiliser davantage nos pays .
Je dirai que le travail est long et demande beaucouo de sacxcrifice et de conscience générale mais une chose est sure ceux qui ont été mis au pouvoir par leur maitre en l’occurence les blancs n’accepteront jamais que l’afrique soit unie car eux meme savent qu’ils seront les premièrs individus à devoir rendre des comptes aux peuples en répondant à tous les crimes qu’ils ont commis envers des citoyens africains et seront forcément sanctionnés pour tout le mal qu’ils ont fait durant leur accession au pouvoir.
Ceux qui veulent un réel changement politique sont quelque part isolé et sont susceptibles d’etre mis de coté par l’occident voir exécuté ce n’est pas pour rien que des personnages comme Thomas Sankara,Laurent Désiré kabila ont été exécutés ou Patrice lissumba a été écarté au pouvoir .
Je ne suis pas politicien mais j’ai compris que pour faire la poltique il faut avoir une certaine sagesse,etre diplomate un moment donné etre structuré organisé et etre conscient que pour adopter des idées il faut savoir les partager et les mettre en avant et par ailleurs etre en mesure de tenir tete face à ceux qui voient en nous un danger.Malheureusement l’Afrique n’est pas organisée,structurée et est toujours colonisée certes sous une autre forme mais à partir du moment ou la france,les Etats unis ,l’angleterre prennent les matières premières sans que les chefs d’état laissent faire cela veut dire que ces chefs d’état n’ont pas la capacité morale de contrer les blancs voilà la vérité.
C’est pourquoi l’ensemble des africains dans le monde aussi bien les citoyens du monde,les journalistes,les écrivains,les cadres ,les politiciens n’ayant pas de rapport avec les néo colinsateurs doivent trouver les moyens nécessaires déjà en se soutenant moralement et financièrement pour dire de façon cohérente non au pillage de l’occident en afrique,non à l’injustice,non à l’insécurité,non à l’esclavage.Certes de plus en plus les africains savent que l’occident est content de voir l’instabilité des pays en afrique qui est plus inquiétante qu’à l’époque des soi disan indépendance courant 60 mais peu osent entreprendre des actions pour faire réellement bouger les choses dans nos pays.
Ainsi je le redis il faut que nos pays soient réellement unis quel qu’en soit le prix pour vivre dans le bonheur comme cela fut le cas bien avant que l’europe émerge réellement;mais la clé est les dirigeants qui bloquent l’émergence de nos pays qui n’aiment pas leurs pays et qui préfèrent rendre service aux blancs qu’à leurs propres frères.
Merci pour votre commentaire, sur le quel il n’y a pas grand chose à redire.
L’afrique est riche d’une immense diversité. Contrairement à un argument cité plus haut je m’oppose à cette idée que les frontières coloniales avaient pour but de scindé des peuples: en effet, ces peuples bien que de meme langue étaient loin de tous formé des états unitaires au moment de l’arrivé des européens. Vous remarquerez dailleurs que ces frontières à angle droit ont avant tout été tracé dans la sahara autrement dit une région sous peuplé actuellment mais qui l’était encore bien plus à la période coloniale. De la meme manière que les germanophones sont dispersé sur la France, l’allemagne, la belgique, la suisse, l’autriche et le luxembourg, bon nombre de langue africaines sont elles aussi partagé par les frontières. En effet, et comme en europe l’intégration régionale permet d’atténué ses divisions hérités du passé. Pour ce qui est de créé une union africaine plus solide comment ne pas etre pour? Mais les 27 états européens qui sont des états anciens et ayany donc une perception claire de leurs interrets ont eut du mal alors il va sans dire que pour l’Afrique a plus de 50 états cela va etre extrèmement compliqué. De plus, il y a un danger qui c’est révélé en europe, à savoir le rejet par les peuples de certains aspect de l’union ce qui est lourd de menace pour l’avenir. De plus une proposition de Kadafi (le colonisateur raté du Tchad) ne peut etre suspecte. Pour ces propositions linguistiques, il veut rejeté les langues européennes à la mer mais dans ce cas il faut aussi rejeté l’arabe qui est aussi une langue importé. Les langues européennes qu’il veut rejeté sont les langues maternelles de très nombreux africains ou comme langue seconde ont permit de communiqué à de vastes échelle. De fait, kadafi veut les remplacé par des langues africaines purement régionales qui ne saurait se répendre sur l’ensemble du continent: autrement dit une seul langue serait répendu sur l’ensemble du continent à savoir l’arabe. Car, c’est bien là le vrais projet du lybien comme au temps de sa conquète manqué du tchad à savoir faire reculé les noires et leur cultures principelement si elle s’exprime dans des langues puissantes comme le français, l’anglais ou le portugais pour arabisé le continent. Ce qu’il na pas réussit par le passé par la force il tente aujourd’huis de la faire par des chemins détournés. Omar est un bon stratège: africains attention de ne pas vous faire roulé!
Je rajouterai dailleurs que la violence peut s’exprimé dans un régime « dictatorial » (je préfère le terme autoritaire) mais ce n’est pas forcément le cas: les sud américains en ont expérimenté plus d’une sans guerre généralisé. A l’opposé, dans le monde grec hellénistique, les démocratie étaient généralement plus bellicistes ques les olligarchies.
Etant donné la situation explosive de l’afrique (voir mon commentaire précédent) la paix est une priorité. ne pensez vous pas?……
et comment penses tu, que lon puisse ramener la paix en afrik? As tu une idée?
si l’on suit boutoule il y a deux solutions et une option.
soi augmenter très très vite la richesse.
soi ralentir très très vite la croissance démographique (« désarmement démographique »)
et pour l(option, trouver un moyen de vidé les énergies… Pour les européens se fut la révolution industrielle et les expéditions coloniales.
Je préconise aussi des régimes conscients qu’il faut avant tout calmé les tensions. L’aspect démocratique à moyen terme doit etre mis au second plan devant la stabilité.
Ce n’est pas joyeux mais ont fait se que l’on peut. La guerre en europe n’a cessé qu’avec les trente glorieuses et parcque globalement, la croissance démographique avait ralentit.
LA VERITE AU MONDE SUR LA FRANCE EN AFRIQUE
http://mboangila.afrikblog.com/archives/2008/09/25/10716961.html
Braraton.
va donc t’exprimer là ton avis bien entendu après avoir tout lu
Merci fulele pour m’avoir guider sur ce site ou il semble bie que j’ai du travail!
Il semnle qu’ici vous vous contentiez de vous interressez à la période suivant les indépendances des anciennens colonies francophones à savoir: 1956 (tunisie, maroc), 1958 (guiné konakry), 1960 (maurétanie, malie, niger, sénégal, cote d’ivoire togo, bénin, tchad centrafrique, haute volta, cameroun, gabon, congo brazzaville, congo belge, madagascar), 1962 (rwanda urundi, algérie) et années 1970 pour Djibouti et comores.
Commençon par le début, qui a voulut que l’indépendance prennent cette forme de « balkanisation » (le terme est de Senghor) de l’afrique? Un grand nombre des « héros de l’indépendance » du genre houphouet boigny. Cette balkanisation adétruit les solidarités entres régions africaines du fait de l’égoisme des africains de la cote qui refusait à ce qu’il leur semblait de payer pour ceux de l’intérieur. Alors que certains comme senghor ou wade (n’allez pas me dire quils sont du meme camp!) ont tout deux eu l’honneteté de dire qu’il fallait le maintient des entité née de la colonisation dans le double interret politique et économique de l’afrique.
Economiquement voila qui aurait permit la création précosse de vastes marchés africains sur lesquels la France (comme les autres partenaires commerciaux) auraient pus faire des économies d’échelle et de se fait vendre moins cher aux africains. De la meme manière la France y aurait gagner car de tels ensemble auraient évité de payer des matières premières aux tarifs prohibitif qu’on été longtemps pour l’europe les tarifs ACP.
Politiquement, l’explosion des fédération a mené à la destruction de solidarité panafricaines qui sont aujourd’huis dur à reconstruire. C’est visible dans la crise ivoirienne ou Bagbo avant de s’attaqué à la France (aux abois il avait besoin d’un dérivatif à la colère populaire=cf les théories de gaston Bouthoul)a faillit rentré en guerre contre le burkina (bizarement vous n’en parlez pas…).
Pour ce qui est du CFA. Il a eut le gros interret de protéger artificiellement l’afrique jusqu’en 1994 de choques dévaluatifs et cela a couté cher avant tout au contribuable français au bénéfice du contribuable africain. Je vous ferez remarqué que des états hors de la zones francophone (Guinée équatoriale, guinée bisseau) ont adhéré au cfa et que d’autres (d’après wade le ghanna dont vous parliez justement!) serez interressé par le fait d’y adhéré.
Pour la « dépendance africaine de la France ». Le premier partenaire commercial est de loin l’allemagne et les interrets avec l’afrique sont économiquements marginaux. Cela, au point qu’un libéral type sarkozy rève que la France quitte tout engagement en afrique qu’il juge contreproductif! Si la France se maintient en afrique (politiquement et militairement) les raisons sont tout autres. Comme je l’ai expliqué sur le site « maat et vannit » au chapitre « afrique uni » la croissance démographique africaine plus rapide que la croissance économique est source de tension. Dans le cas africains ceci est vrais dans des proportions jamais vues. En 1880, il y avait 100 000 000 d’africains, en 2050 ils seront 2 000 000 000! l’afrique aurat vu sa population multiplier par 20! Une telle croissance méler à une croissance économique encore trop lente est génératrice de tensions et de conflits. La France ne peut laisser l’anarchie se dévelloper sur sont flanc sud et ceci d’autant plus que la part de franco-africains (français d’origine africaine, antillais, mascareigngeins, binationaux) représente 10% de la population française et va monté à 30 d’ici 50 ans, la France dans ces conditions à des risques d’etre entrainé dans les deflagrations africains.
La France recherche en premier en afrique la stabilité.
Pour ce qui est de la Francophonie. Je vous ferez remarqué que des états non francophones se rallient au concept et à la langue. Le ghanna (encore lui!) est membre associer de l’OIF tout comme par exemple le cap vert, la guinée équatoriale qui eux sont membres de plein droit. D’autres états cherchent à devenir observateur de cette meme organisation pour combattre l’influence anglophone chez eux comme l’angolat et la mozambique.
Au passage, le nigéria a annoncé en 1997 qu’il lui fallait faire du français sa seconde langue officielle.
Mais, en plus de conquérir des territoires la Francophonie conquière des individus. En effet, le nombre de francophones réels ne cesse de croitre sur le continent africain (tout zones confondues) et plus important, ce nombre augmente plus vite que celui de la population africaine. Au point que selon l’ONU en 2050 30 à 40% des africains seront francophones.
Meme des individus plus ou moins hostile à la France défendent la Francophonie. C’est le cas de wade qui veut aue la capitale de ses « états unis d’afrique » se trouve en territoire francophone (mali ou centrafrique) mais aussi de la cote d’ivoire qui est un acteur très actif de la francophonie malgret ses froids avec la france.
Les choses sont bien plus complexes que vous le dite. La France est un concept séparé de la Francophonie.
La France n’a pas le choix de rester en afrique mais pas pour des raisons économiques.
l’afrique, la France et la Francophonie sont un meme monde comme vous et moi en sommes tous des illustrations malgret nos divergences…
(copie de mon commentaire de l’autre blog)
« (copie de mon commentaire de l’autre blog) »
De quel blog parles-tu?
l’adresse ou tu m’a envoyer dans ton précédent msg.
Au passage, mon commentaire n’a toujours pas été publier sur l’autre blog (c’est pour cela que je l’ai mis ici, j’avait un petit présentiment…).
J’apprécie, meme si mes termes sont parfois rudes, la liberté réelle que j’ai pour m’exprimer sur ce site malgret nos désacords qui enrichissent le débat.
Je ne sais quoi te dire Mboa n’est pas du genre à censurer.
poste le de nouveau.
Je l’ai poster quatre ou cinq fois… Je ne suis pas sur que tout le monde est ton libéralisme intellectuel fulele, c’est une raison pour le saluer d’autant plus.
En y réfléchissant, sur une construction politique africaine, je pense qu’il est bon de regarder l’exemple de la confédération germanique de 1815. Il faudrat que je revienne là dessus.
ne cherche jamais à soigner l’afrique avec des remèdes européennes, ca ne marchera jamais! c’est ce qui est, semble-t-il, fait depuis la colonisation, mais il n’y a aucune évolution! trouve les solutions de l’afrique dans l’afique même!
le FMI et la boanque mondiale ont essayé, tout le monde a essayé, mais avec un paradigme étranger à ‘lafrique! rien ne marche! arretons nous là et renaissons avec nous mêmes et par nous mêmes!
Mais, je ne parle pas de mettre un modèle européen mais de créer un modèle original, il faut donc trouver des cas historiques ou les conditions étaient proche de se qu’est l’afrique, il faut savoir les africanisé. Cesse d’avoir peur de la contagion, l’afrique est assé forte pour créer des modèles tout en utilisants les expériance des autres peuples.
« il faut donc trouver des cas historiques ou les conditions étaient proche de se qu’est l’afrique »
je te rappelle que le modèle de l’égypte ancienne suffira à l’afrique actuelle! sans plus ni moins!: et c’est a cela que nous, jeunesse kémite, oeuvrons aujourdhui
Mais est tu donc aveugle? L’égypte avait un peuplement homogène, une seule religion (ou presque). L’afrique est diverses, les solidarité sont à peu prèe égales aux hostilité. Un système ou l’afrique serait découpé en nomes et dirigé par un seul homme depuis une nouvelle Thèbe est du délire.
Moi, je réfléchis à des institutions viables et plus satisfaisantes que celles d’aujourd’uis.