L’AFRIQUE EST UNE FEMME QUE L’OCCIDENT A VIOLE ET VIOLE ENCORE. PUIS ELLE A KIDNAPPE ET ASSASSINE LES ENFANTS (le crime continu.) (fulele)
http://www.dailymotion.com/video/1CDQUB0XH05xaofUb
L’AFRIQUE NE DOIT PAS CHERCHER A DEVENIR L’EUROPE…
ELLE DOIT REDEVENIR L’AFRIQUE (M.K.ASANTE)
http://www.dailymotion.com/video/OxIivy4xIwMMi7l1B
http://www.dailymotion.com/video/25V0LtjgtT7T236Ck
http://www.dailymotion.com/video/3uLle3bZvWKqC5J8U
http://www.dailymotion.com/video/5a62PwoEzEi336PhN
http://www.dailymotion.com/video/6aTwJy4UhdbQ074bk
http://www.dailymotion.com/video/7AiQutgt6Ln4o5AvX



Je vous invite à lire mon troisième commentaire sur les langues dans lequel j’ai été ammené à faire une rapide histoire coloniale qui je l’espère aidera à nuancé ces documents: dans un procès équitable, la défense à le droit de s’exprimé: ce n’est pas le cas sur cette page.
CCela n’a rien d’une démarche historique et n’est pas démocratique!
Le mec de la 7ème vidéo (bejamen Stora je crois) est l’individu avec qui j’ai croisé le fer aux rendez vous de l’histoire. Ce monsieur ne sais pas différencier statut juridique (qui est le fondement de tout ordre colonial) et racisme.
C’était impressionement de voir à quel point ma petite remarque à la tribune la fait fulminer…
Quel plaisir de faire un peu bouger ses corporatistes engonsé dans une vision simpliste, mais tellement plus confortable, de l’histoire…
Je retanscrit ici le texte d’un polynésien que j’ai trouver par hasard sur le web et qui me semble t’il a de l’interret:
« Bonjour tout le monde,
Pour des raisons personnelles, je vais être absent jusqu’à jeudi matin. Notre prochain billet ce sera donc ce jeudi 21 septembre 2006. Il y a tant et tant de choses à dire.
Vous trouverez ci dessous une petite réaction au débat de jeudi dernier sur TNTV. Il s’agit d’un courrier des lecteurs expédié aux 2 journaux ce dimanche soir.
L’émission radio aura lieu sur Radio Maohi, demain soir, à 17H. Elle sera animée par notre patriote Guy. Merci de votre fidélité.
Bonne semaine. et à jeudi matin…
Jeudi dernier, TNTV a proposé un débat sous le titre : « la colonisation, aspects positifs, aspects négatifs ».
A priori, l’idée est séduisante, encore convient-il de donner sa chance aux deux aspects possibles : positifs ou négatifs.
Pour pouvoir parler du positif ou du négatif de la colonisation, il faut d’abord se poser la question de la vie en Polynésie française avant l’arrivée des européens, autour de la fin du 18ème siècle. Sait-on avec certitude, alors que l’écrit n’existait pas chez le polynésien et que les traces écrites (sculptures, …) n’ont pas résisté aux épreuves du temps, comment vivaient nos ancêtres ? On en a eu peut-être eu, par chance, un petit aperçu avec les reportages de Thalassa à Fidji, au Vanuatu, en Papouasie Nouvelle Guinée. Manifestement, les polynésiens vivaient quasiment nus à cette époque lointaine là, la promiscuité devait régner en maître et les femmes très mal traitées, sans doute n’étaient-elles bonnes qu’à faire la cuisine, travailler aux champs, faire des enfants. On dit aussi que le cannibalisme régnait en maître et que chaque guerre tribale entraînait une consommation humaine des vainqueurs sur les vaincus. On sait très peu de vérités sur ces temps, ainsi le Mémorial Polynésien retrace en un seul tome, le 1, la période 1521 à 1833. Encore relate-t-il dans ces pages, les différents voyages des circum navigateurs, il y a très peu de détails sur la vie quotidienne des polynésiens de ce temps là, nos ancêtres.
En ces temps là, comment était la vie des enfants ? Quelle était l’espérance de vie à la naissance de nos ancêtres ? De quoi vivait-on ?
Entendre en public que la colonisation n’a eu que des effets négatifs, fait mal. Surtout quand cette remarque émane de personnes grassement rémunérées par l’Etat français : fonctionnaires, ministres, élus à l’assemblée… Ils n’ont même pas la reconnaissance du ventre, ce qui est un minimum quand même.
Nous avons eu de la chance d’être colonisés par la France, car quand on regarde ce qui s’est passé en Australie pour les aborigènes, en Nouvelle Zélande pour les maoris, à Hawaii pour les polynésiens de là bas, les polynésiens de Polynésie française ne sont pas à plaindre. Une économie forte, quoiqu’en chute libre depuis deux ans, un niveau de santé pour tous envié dans tout le Pacifique (l’espérance de vie est quasiment à la hauteur de celle des métropolitains), un réseau très touffu et moderne de communications interinsulaires par mer comme par air, un marché de l’emploi qui s’est beaucoup développé, un système éducatif performant puisque 100% des enfants polynésiens sont scolarisés, une forte proportion d’entre eux ont obtenu un diplôme égal ou supérieur au DNB ces 10 dernières années, des établissements scolaires partout, toujours plus proches des populations, un développement gratuit pour les familles, du transport de ces élèves quelle que soit leur île d’origine, une protection sociale enviée de tous. Si tout cela, ce n’est pas du positif…
Qu’il y ait eu des aspects négatifs, sûrement. Que des personnes immigrées aient pu prendre les terres des « indigènes » du fait de leur ignorance des lois et de leur naïveté, sûrement. Mais, pourquoi ne pas donner les chiffres de la propriété des terres en Polynésie française ? Est-il faux de dire que les premiers propriétaires terriens polynésiens sont les domaines et les familles elles mêmes avec souvent, des terres dans l’indivis ce qui a longtemps interdit la vente de la terre. Que se passera-t-il quand le cas de l’indivision sera réglé ? Parions que le polynésien vendra sa terre au plus vite pour en trouver un bénéfice à court terme à travers de l’argent. Ensuite, est-il faux de dire que le deuxième propriétaire de terres en Polynésie française, c’est les églises avec les très nombreux dons de ses fidèles. Tout cela pour dire que la terre en Polynésie française appartient aux polynésiens. Pourrait-on avoir les chiffres de ce partage des terres ? Ainsi, on saurait la vérité sur les accusations des uns et des autres concernant les terres.
En connaissant mieux la situation d’avant la découverte, on sera mieux en mesure d’apprécier les aspects de la colonisation.
Quand on voit ce qui se passe encore en 2006, dans les îles qui n’ont pas eu la chance d’être colonisées par la France, on peut affirmer que la colonisation a eu surtout des effets positifs sur la vie des polynésiens, d’ailleurs les tenants des aspects négatifs sont les premiers à en bénéficier et à en profiter aujourd’hui. L’argent français dans sa poche, c’est bon. Les belles voitures, c’est bon. Le vini, c’est bon. Les soins pour tous, sur Tahiti comme dans les îles, c’est bon. La télé, le cinéma, l’ordinateur, c’est très bon. Le steak, les frites, le hamburger, c’est bon aussi. Les avions pour voyager loin et vite, c’est bon. Des écoles partout, c’est bon.
On pourrait continuer la liste encore très longtemps, la colonisation a eu énormément d’aspects positifs. Regardons l’avenir. A l’école, les élèves ont la colonisation au programme. Par contre, ils n’apprennent pas la vie massacrée des femmes dans l’ancien temps, le cannibalisme, l’espérance de vie très courte des polynésiens, l’envie des polynésiens d’avoir de la verroterie des navigateurs et ils n’hésitaient pas à envoyer leurs propres épouses ou filles coucher avec les marins pour un clou ou un couteau.
Avant de critiquer la colonisation, si on nettoyait d’abord devant notre porte. Le passé est le passé, nous sommes là aujourd’hui, dans un pays civilisé, développé, soyons en fiers et arrêtons de regarder dans le rétroviseur. »
http://patriotes.centerblog.net/549054-A-PROPOS-DE-LA-COLONISATION-
il est interrssant de donné des comparaisons des diverses situations coloniales je pense.
« On sait très peu de vérités sur ces temps » Pourquoi ne pas ce taire alors?
Il serait bon d’entendre aussi les arguments de ceux qui ne pense pas la même chose que ce monsieur ne penses-tu pas, (objectivité).
J’en connais des africains qui pensent que la colonistion a été positive.
Mais il y’a aussi ceux qui comme nous pensent le contraire.
La différence entre cela et nous c’est la connaissance de leur passé avant l’arrivée de tes ancêtres.
Les uns ont été à l’école du blanc ou c’est le chasseur qui donne sa version des l’histoires de chasse et nous, nous avons aussi été à l’école du Lion.
Tant que les lions n’auront pas leurs propres historiens, les histoires de chasse continueront de glorifier le chasseur.
http://bellaciao.org/fr/spip.php?article75059
Je vous invite à lire les commentaires qui suivent et qui voient un échange réellement interressant entre français Mahorais et Comoriens.
J’ai rapidement participé à l’échange moi même.
Que dites vous à un Mahorai qui vous dit qu’il veut resté français?
N’y a t’il pas là une légère tendance à l’impérialisme?
Les Comores (comml’argentine vis à vis des Malouines en leurs temps) ne focalisent’il pas sur la présence française voisine pour na pas voir leurs problèmes andogènes? .