Un conseil aux amis de la françafrique et aux ennemis du peuple noir: ALLEZ-VOUS EN!
JUSTICE POUR L’AFRIQUE
http://www.dailymotion.com/video/3T0C6Nze3Mx2DdTrw
françafrique ou l’école de la kleptocratie
A quoi cela vaut le patrimoine des chefs d’état en France… Que les chaînes françaises arrêtent de nous taper les oreilles chaque fois qu’elle veut nous distraire… Lorsque ces chefs d’état montaient ses patrimoines, où étaient-elles? ?? Ce n’est pas parce que Bongo a décidé de renvoyer en France autant de français que de gabonais expulsés de la France que France 2 doit nous donner la leçon. EN FAIT LES AUTRES PAYS AFRICAINS DEVRAIENT EN FAIRE AUTANT… SEULEMENT C’EST DES LACHES ! On en a assez de ces lapalissades à double tranchant. Qu’elle nous fiche la paix. Autant les africains ont des patrimoines en France et en Europe, autant les présidents français et européens en ont en Afrique. Toute la RDC est au Belge… jusqu’aux habitants. Tout Bonamoussadi au Cameroun est au feu Mitterrand.. . les mines d’or du Botswana à la reine d’Angleterre et que sais-je… Que la France cesse! On attend que les gauloiss quittent l’Afrique en nous libérant d’abord du CFA qui est la propriété de la France. Le CFA est le patrimoine français en Afrique et il décime jour après jour des vies et des richesses et ça on en parle pas. Voila ce qu’il faut toucher… Nous pourrions décider d’un revers de la main le jour où basculerait le colonialisme occidental en Afrique, de récupérer tout ce que Biya, son régime, Bongo et son régime, Sassou et son régime et tous les restes et leurs régimes ont mis en Europe pour que cela retourne en Afrique. QUE FRANCE 2, 3, 4, 5, …. 10, 11, 12, NOUS EXPLIQUE LE PATRIMOINE FRANCAIS EN AFRIQUE. LE PILLAGE???? L’INTOXICATION DES POPULATIONS JUSQUE DANS LES RIVIERES DES VILLAGES, COMMENT LES AFRICAINS MANGENT DES POISSONS SOUILLES AU LIBERIA, EN SIERRA LEONE, LE DIAMANT, LE COBALT DE LA MORT AU CONGO… Alors assez!!! JE NE SOUTIENS AUCUN DE CES LEADERS ET JE NE BENEFICIE RIEN D’EUX MAIS QUE LA FRANCE CESSE SA LANGUE DE BOIS. ON LA CONNAIT DEJA…
ARRETEZ!!!!! !!!!!!!!!
En quoi ces hommes politiques sont des dictateurs ??? Ils sont dictateurs par rapport à quoi ??? Qui les amène au pouvoir ??? N’est-ce pas la France ??? Au temps des Sankara, Lumumba ces mêmes CHAINES disaient d’eux qu’ils étaient des dictateurs à la solde du communisme… Aujourd’hui, c’est elles qui leur vouent le culte de grande personnalité africaine parce qu’ils sont mortS ; assassinés de leur main ! Ceux que vous appelez dictateurs aujourd’hui, ils sont démocrates quand ils protègent bien vos puits de pétrole en Afrique… Accompagnent vos politiques colonialistes… Ils deviennent dictateurs lorsqu’ils ouvrent un peu l’œil… Assez !!! Et que ruminent béatement les africains qui jouent le jeu de la France en Afrique… Il faut souvent entrer dans les milieux de DECISION politique pour savoir les contraintes que nous imposent la France en Afrique et par ricochet, ces dirigeants… Ces derniers que vous désignez de dictateurs ont un cœur et sont conscients du poids de misère qui pèse sur leur peuple. Ils voudraient que cela cesse mais dès qu’ils ont la bonne volonté de changer, le lendemain il y a menaces de mort par les diplomates des ambassades telles que la France. Et le plus proche collaborateur de ce dernier dit dictateur, accepterait volontier de liquider son président pour lui prendre son poste. Or ils aiment aussi la vie et ne veulent pas céder tout comme vous, tel qu’on connaît l’Africain dans son aisance. Et c’est là le piège des Africains. Pour savoir que la France se moque de nous, il ne faut voir que leurs missions diplomatiques en Afrique. La France a la plus honteuse des immeubles des missions diplomatiques en Afrique. Pourtant, c’est elle qui détient la plus grosse part de richesses qu’elle extorque à l’Afrique. Au Cameroun, c’est fait de planche de bois… comme si ça pète, elle met le feu et s’en fuit. Ni vu ni connu !!!! IL N’Y A PAS DE DICTATEURS EN AFRIQUE, DU MOINS POUR MOI. C’EST LA FRANCE QUI EST DICTATEUR ! C’EST LA France 2,3,4,5,6,7, 8,9,10,11…………. QUI EST SON MINISTERE DE COMMUNICATION ET CEUX QU’ON APPELLE NOS CHEFS D’ETAT, sont les administrateurs de la France. Ce sont des démocrates à la solde de la France et des dictateurs selon elle. Dans tous les deux cas, les africains comme nous, nous sommes les souffre-douleur.
ET QUAND CA PETE, LA FRANCE ENVOIE SES AVIONS POUR EXTRAIRE LEURS POPULATIONS BLANCHES PARFUMEES DE QUELQUES PEAU NOIRE QUI ONT BENEFICIE DE LEUR CLEMENCE DE PASSEPORT. TANT PIS POUR VOUS, VOUS POUVEZ, VOUS NEGRES VOUS DECHIRER…. L’EXEMPLE DE LA COTE D’IVOIRE, DU TCHAD RECEMMENT EN DIT LONG
ARRETEZ !!!!!!!!!!!! !!!!!!!
Gilbert
http://www.dailymotion.com/video/x2p6nj
Laurent Gbagbo, président de la Côte d’Ivoire parle des relations tumultueuses qu’il a entretenues avec Jacques Chirac.
http://www.dailymotion.com/video/5NdQhPVKPUtKwiyLj
http://www.dailymotion.com/video/4LuqTT4gOfRaQ9nxF
http://www.dailymotion.com/video/eq7eppZGRkpnT9ifa
http://www.dailymotion.com/video/5fSuIaYzc9MIh9nH1
J.Chirac:
Evoquant les « calamités » qui se sont abattues sur l’Afrique – l’esclavage, « les curés et les imams qui se sont rués sur les bois sacrés et ont détruit l’expression culturelle » et « les antiquaires qui ont pillé les oeuvres culturelles » – Jacques Chirac s’exprime contre la politique d’ »immigration choisie » défendue par Nicolas Sarkozy.
« Maintenant c’est la dernière étape : on leur pique leurs intelligences en leur distribuant des bourses, et on persiste à dire de ceux qui restent : ces Nègres ne sont décidément bons à rien », explique-t-il.
Au journaliste qui lui demande s’il a évoqué ce sujet avec le ministre de l’Intérieur, Jacques Chirac répond : « Oui, et vous ne m’avez jamais entendu parler d »immigration choisie’ ».
http://www.dailymotion.com/video/3b74TyX5PnxWO8zy9
http://www.dailymotion.com/video/3I0kDr7kadGvPd3qB
Immigration choisie,
TELESUD – Jean-Philippe OMOTUNDE
http://www.dailymotion.com/video/53zhfocLFpg9Qeglk
L’ARMEE FRANCAISE TUE MAIS OFFICIELEMENT ON LE DEMENT A VOUS DE JUGER.
http://www.dailymotion.com/video/2jxdeMTjl7Mp42bcT
http://www.dailymotion.com/video/6SM0z1aPFxsk67qz6
http://www.dailymotion.com/video/53Kpib8NV2qUO8i2L
« Le caméléon » est un album introuvable en France. Il est sorti en 2000 en Afrique suite aux événements de décembre 99. Le caméléon est le pseudo du général putchiste Gay qui aprés avoir viré Bédié a pris ses aises à la présidence de la Côte d’Ivoire. Tiken, dans cet album, demande à celui-ci de tenir ses promesses et d’organiser des élections démocratiques, chose qu’il a faite depuis sous la pression populaire mais non sans frictions ethniquo-politiques sanglantes….. Or au moment de la sortie du Caméléon, sortait en France Cours d’histoire.
Titres:
Début:http://www.dailymotion.com/video/x1b24p_tiken-jah-fakoly-album-cameleon-in
07-Donga
08-Promesse de Caméléon
09-Justice (Version Originale)
http://www.dailymotion.com/video/ZSRYqDlCgpVhl9dcy
LE BENIN PEUT ETRE UN ESPOIR
Le Bénin est classé en tête des pays africains pour la liberté de la presse. Rien d’étonnant pour cet Etat qui cultive avec vigueur sa jeune démocratie et entretient sa stabilité politique depuis quinze ans. Comment travaillent donc ces journalistes qui font figure d’éclaireurs sur un continent agité de tensions ? Quel rôle jouent-ils dans la vie de la nation ? Comment l’Afrique peut-elle inventer de nouveaux modèles médiatiques adaptés à ses publics ? En partageant le quotidien de quatre rédactions béninoises (deux radios, la télévision publique et un quotidien de la presse écrite), pendant la folle campagne pour la dernière élection présidentielle de mars 2006, le voile se lève sur l’originalité des médias béninois…
http://www.dailymotion.com/video/1WYYaT1C6o2VV65M6
http://www.dailymotion.com/video/5YNeAbd4PZN7X65PD
LA COTE D IVOIRE AUSSI
:: | SAMEDI DERNIER SUR CANAL 2 INTERNATIONAL | ||||
Blé Goudé, président du Cojep: »Il est mieux pour la France de négocier maintenant » |
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http://www.dailymotion.com/video/789F6qhW3LIMD5mQy
http://www.dailymotion.com/video/4W72YhIEkda8H5mRF
Reportage au combien interessant. C’est étonnant la France soutient des dictateurs sanguinaires… Applaudie des éléctions truquées.
Chroniques de ces éléction et d’une France plutôt aventureuse!
Ne nous demandons plus pourquoi tant de gens quittent leur pays dans l’espoir d’une vie meilleur.
La solution au problème de l’immigration ne passe pas par l’extrême droite mais bien par un assainnissement de nos relations et la fin du monopole des compagnies françaises sur les ressources africaines
Les diamants de Bokassa
http://www.dailymotion.com/video/7msR8pDsJhOvC5Acp
http://www.dailymotion.com/video/bpaWXsE5aiN6F6PmW
Présidentielle 2007 : Quelles conséquences pour l’Afrique noire francophone ?
Si généralement les élections en Afrique francophone ne passionnent
aucun français, en revanche les élections françaises intéressent au
plus haut point les pays africains francophones, du subalterne aux
élites dirigeantes.
Dans ces pays, chacun suppute sur le prochain président français en
s’imaginant qu’il va bouleverser les relations entre la France et
ses anciennes colonies. Les partis d’oppositions africains espèrent
que le nouveau locataire de l’Élysée sera moins complaisant avec les
dictateurs, tandis que les membres des castes au pouvoir souhaitent
perpétuer des relations qui leur permettent de piller allègrement
leur pays.
Il est vrai que l’élection présidentielle française de cette année a
un enjeu particulier. Elle consacre l’avènement au porte du pouvoir
d’une nouvelle génération d’hommes et de femme politiques incarnée
par Ségolène Royal, Nicolas Sarkozy et François Bayrou.
Dans un discours prononcé à Frangy en Bresse le 23/08/2006, Ségolène
Royal déclarait : » L’utopie réalisable du XXIe siècle, c’est que
les pays pauvres, notamment l’Afrique, sortent de la misère grâce au
co-développement. C’est là que se situe la vraie réponse au problème
des migrations…Non seulement l’aide que nous apportons aux pays
pauvres est parmi les plus faibles mais elle va à des pays peu
démocratiques et la France est qualifiée de particulièrement
performante pour la vente d’armes aux dictatures…nous devrons le
changer si nous voulons être crédibles. «
Nicolas Sarkozy devant le parlement béninois le 19 mai 2006 a
affiché sa volonté de remodeler les relations entre la France et
l’Afrique en tenant des propos révolutionnaires à contre-pied de
l’ancienne classe politique française (de De Gaulle à Chirac.) Il
affirme : » Seule la démocratie peut répondre aux aspirations des
citoyens. Seule la démocratie peut permettre à un pays de se sortir
d’une crise interne, aussi grave et longue soit-elle. Quoi qu’on ait
pu penser pendant si longtemps, la dictature, ce n’est pas la
stabilité. Seule la démocratie peut créer les conditions de la
stabilité en profondeur… Je crois indispensable de faire évoluer,
au-delà des mots, notre relation. L’immense majorité des Africains
n’ont pas connu la période coloniale. 50% des Africains ont moins de
17 ans. Comment peut-on imaginer continuer avec les mêmes
réflexes ? «
Dans la même appétence, François Bayrou affirme : » L’Afrique
devrait être notre tourment. Tant que vous aurez les vingt pays les
plus pauvres de la planète maintenue dans leur dénuement, à quelques
centaines de kilomètres des dix pays les plus riches de la planète,
vous aurez des vagues migratoires. Il n’y a qu’une politique juste
et efficace de lutte contre l’immigration que nous devrions imposer
à la communauté internationale et à l’Europe : C’est de garantir aux
Africains qu’ils peuvent vivre convenablement en Afrique, de leur
travail, comme des hommes debout. «
L’épineuse question de l’immigration met au centre de la campagne
présidentielle les relations de la France avec ses anciennes
colonies. Beaucoup de jeunes qui se sont révoltés dans les cités
françaises en 2005 avaient pour origine l’Afrique noire francophone.
D’où l’intérêt pour les principaux candidats à l’élection
présidentielle de proposer un nouveau partenariat avec l’Afrique.
Au-delà du baume au cœur que ces discours peuvent procurer à une
partie de l’élite africaine rêvant de démocratie, il est nécessaire
de s’interroger sur leur fiabilité. Déjà en 1981, François
Mitterrand préconisait une métamorphose des relations entre la
France et ses anciennes colonies ; De nombreux intellectuels
africains de l’époque pensaient qu’il achèverait le processus
d’émancipation des peuples africains mal amorcé par De Gaulle et
Foccart. Malheureusement il fut sur les questions africaines ‘un
politicien virtuose de la routine’.
Peux t-on penser que l’heure du chambardement est arrivée dans les
relations Franco-Africaine, avec l’émergence de nouveaux acteurs
politiques en France ?
La réponse à cette question est négative. Et voici pourquoi :
1-L’érosion du pouvoir politique en France au profit des
multinationales.
En réalité aucun des candidats à l’élection présidentielle ne pourra
réformer les liens entre la France et l’Afrique s’il accède au
pouvoir. De nos jours le ‘Politique’ a abandonné son pouvoir
à ‘l’Economique’. On assiste à une privatisation de la politique
française en Afrique.
Ce sont les multinationales françaises qui gèrent l’Afrique
francophone. Elles sont devenues des acteurs de premier plan dans
les relations entre la France et ses anciennes colonies. Elles ont
toutes été privatisées rendant le rôle de l’état quasi nul dans la
politique de ces organisations.
Par conséquent, Les multinationales françaises ont les moyens de
déstabiliser n’importe quel régime africain (démocratique ou
dictatorial) sans que le Quai d’Orsay n’est rien à redire.
De ce fait, la politique africaine de la France, est d’abord la
politique des multinationales françaises installées en Afrique. Ces
dernières sont sans scrupule et ont les moyens financiers d’imposer
à l’Afrique des dirigeants psychopathes travaillant pour leurs
intérêts. En conséquence, les autorités françaises ne peuvent aller
à l’encontre des intérêts de leurs multinationales. La place
économique de la France dans le monde en dépend.
Il est aujourd’hui indéniable que la relation Franco-Africaine
tissée après le » don des indépendances de 1960 » est immorale et
est à l’origine de la misère dans les pays d’Afrique francophone.
Les candidats à la présidentielle souhaitent moraliser ces relations
en passant de l’uni -développement en faveur de la France à un co-
développement pour réduire la misère dans les pays africains. Or le
capitalisme est un système économique qui ne prône pas le ‘partage’.
Ce qui compte pour les capitalistes c’est le profit. Si les
multinationales françaises peuvent faire le maximum de bénéfice avec
la complicité des dirigeants africains qu’elles ont aidé à placer et
à maintenir au pouvoir, pourquoi se gêneraient-elles ? Au nom de
quelle morale et de quel principe les capitalistes français feraient
du co-développement surtout si ses principaux concurrents en sont
dispensés ?
Compte tenu des effets néfastes de la ‘Françafrique’, Il serait
moral de modifier les relations entre la France et l’Afrique pour
permettre aux africains d’entamer leur développement. Mais ce n’est
pas la morale qui détermine les intérêts ou qui régit l’économie :
C’est le ‘Marché’.
Ségolène Royal, Nicolas Sarkozy et François Bayrou font
de ‘L’angélisme moral’ en transformant les relations France-Afrique
en problèmes moraux, ce qui est la meilleure façon de ne jamais les
résoudre. Si on compte sur le co-développement pour résoudre la
misère en Afrique, on se raconte des histoires : on fait preuve
d’angélisme puisque la misère en Afrique est d’abord la conséquence
des liens spéciaux existants entre l’Elysée, les multinationales et
les dictateurs ; Ces liens spéciaux favorisant la corruption et les
dictatures en Afrique
Compte tenu de la faible marge de manœuvre dont dispose
le ‘politique’ dans ce monde ‘Mondialitaire’ tenu par les
multinationales, on peut affirmer sans l’ombre d’un doute qu’aucun
des candidats à l’élection présidentielle française ne pourrait
révolutionner les relations entre la France et ses anciennes
colonies. Les intérêts économiques des multinationales françaises
l’emporteront sur les discours angéliques des politiques à l’égard
de l’Afrique.
2-La place de la France dans le monde.
« Les nègres sont condamnés au destin d’éternels supplétifs de la
grandeur française. Postulat bien entendu inacceptable » (Mongo Beti)
La France est une puissance moyenne, membre du conseil de sécurité
des nations unies qui a besoin des pays africains pour garder son
rang dans le monde. En effet, les états africains francophones
votent toujours dans le même sens que la France dans les instances
internationales.
Si bien que, pour conserver son influence planétaire, la France
impose à ses anciennes colonies de la soutenir sur le plan
international et de promouvoir la Francophonie ; Cette Francophonie
devenant un moyen pour les Africains de défendre leur héritage
colonial. En contrepartie de ce soutien indéfectible, la France
maintien au pouvoir les dirigeants africains collaborationnistes.
L’influence de la France à travers la coopération Franco-Africaine
empêche le développement de l’Afrique francophone, car elle maintien
expressément le statu quo pour les intérêts de ceux qui en tirent
profit (les dictateurs africains, les multinationales françaises et
l’état français.) Une réforme de la politique africaine de la France
pourrait lui faire perdre son influence au niveau mondial. C’est
pourquoi aucun candidat élu à la présidence en France ne pourrait
prendre ce risque. L’influence française dans le monde est un des
aspects de la continuité de l’état. C’est une obsession stratégique
de l’hexagone.
Mongo Beti dans son ouvrage : La France contre l’Afrique : Retour au
Cameroun affirme : » La France ne peut pas se passer de l’Afrique.
Celle ci est le relais indispensable à son prestige. Elle est
nécessaire au maintien des positions françaises dans les grandes
instances internationales, elle est enfin la survivance de tout un
passé français. Voilà ce qui a fait le malheur de l’Afrique, c’est
la racine même de la stagnation. C’est cette paranoïa qui a ligoté
et paralysé le continent noir. «
La France n’a donc aucun intérêt et aucune raison de modifier une
politique qui lui permet de fertiliser son influence au niveau
planétaire quand bien même le maintien de son prestige a un coût
cannibale en termes de sacrifices humains.
Il est quasiment sûre qu’en cas de modification de la politique
africaine actuelle de la France, les régimes africains issus de ces
changements seraient moins accommodants avec l’ancienne puissance
coloniale qui aura contribué durant près d’un demi-siècle à
maintenir des dictateurs corrompus au pouvoir, donc à augmenter la
misère des populations locales.
Les candidats à l’élection présidentielle française font donc de
l’incantation pour se donner bonne conscience. Une fois au pouvoir,
la raison d’Etat, les intérêts supérieur de la France auront la
primauté sur la résolution de la pauvreté en Afrique. Ainsi, la
rationalité économique, la place de la France dans le monde implique
le maintien de lien privilégié avec les dictateurs africains qui
sont les seuls gages de la longévité de l’influence française au
niveau mondial.
3-Le Franc CFA, la monnaie qui tue l’Afrique.
« Aujourd’hui, on est colonisé et on ment au peuple qu’on est
libre » (Léopold Sédar Senghor. Jeune Afrique du 07 janvier 1977)
Il ne pourrait y avoir de modification de la politique africaine de
la France sans l’abandon par le pays des droits de l’homme d’une
monnaie qu’elle continue à gérer au détriment des économies des pays
d’Afrique francophone : Le Franc CFA : Le Franc de la communauté
financière africaine. Sans revenir sur les principaux instruments de
l’asservissement de l’Afrique par l’occident au fil des siècles, il
faut retenir qu’un seul instrument de cette soumission n’a pas
changé de nom : La monnaie. Le Franc CFA est en fait un instrument
de la permanence de la colonisation française en Afrique.
En effet, d’après les accords monétaires entre la France et ses
anciennes colonies, tous les avoirs extérieurs des pays africains de
la zone Francs doivent être déposés à hauteur de 65% dans un compte
d’opération du Trésor Public français et rémunérés à un taux
dérisoire. (2) Les avantages pour la France sont nombreux. On peut
citer le contrôle économique des pays africains francophones par les
réserves de changes, la position privilégiée pour les entreprises
françaises pour tout investissement étranger par le contrôle et les
garanties des transferts, la conservation des débouchés commerciaux,
la conservation des sources d’approvisionnements…
L’une des causes de la pauvreté en Afrique francophone, au-delà de
la mauvaise gestion des régimes dictatoriaux installés et soutenus
par la France, est à rechercher dans l’absence de souveraineté
monétaire de ces pays. Quand on sait l’importance de la monnaie dans
le cycle économique, aucun pays ne peut laisser à une institution
sur laquelle il n’a aucun contrôle la responsabilité de gérer sa
monnaie. Pourtant l’Afrique noire francophone a abandonné sa
politique monétaire à la France.
Joseph Tchundjang Pouemi affirme dans son célèbre ouvrage Monnaie
servitude et Liberté : » Mettre la monnaie au service de l’économie.
Ce n’est possible que si la banque centrale est soumise à la tutelle
du politique via le ministère chargé du trésor. Cette ‘
subordination fondamentale ‘ conditionne la maîtrise de la conduite
de la politique économique de tous les gouvernements «
Or le Franc CFA est soumis à la tutelle politique du Trésor public
français et non des états africains. Dans ces conditions la
politique monétaire du Trésor public français a tendance à favoriser
les activités des multinationales françaises et est incompatible
avec le souci des africains d’améliorer leur revenu. De ce fait, le
Franc CFA n’est pas au service des économies africaines et l’on
comprend mieux pourquoi cinquante ans après les pseudos
indépendances de 1960, les pays africains francophones, pourtant
riches en matières premières stratégiques n’ont pas engagé le
processus de leur industrialisation.
Le malheur des élites africaines, c’est qu’ils ne savent pas faire
le lien entre la monnaie et le développement.
Les pays africains francophones en déposant 65% de leurs réserves de
change à l’étranger se prive d’une capacité de financement
nationale. C’est une perte sur le plan macro économique.
Seuls les nations qui ont su résoudre l’équation qui lie l’économie
au circuit monétaire prospèrent en Afrique. C’est le cas de l’île
Maurice, de l’Afrique du sud, du Rwanda et de certains pays du
Maghreb. Le cas des pays asiatiques nous le confirme. C’est par la
souveraineté monétaire, l’accumulation du capital que ces pays se
sont développés.
Mettre en place une nouvelle politique africaine de la France, c’est
aussi permettre à l’Afrique de prendre en main son destin monétaire
en renonçant à gérer le Franc CFA. Or la France a trop d’intérêts en
Afrique pour se permettre d’abandonner une monnaie qui lui procure
de nombreux avantages, particulièrement en cette période où d’autres
puissances (Usa, Japon, Chine, Brésil) s’intéressent de plus en plus
aux matières premières africaines ?
4- Conclusion.
Ne rêvons donc pas ! Le prochain président français en mai 2007
n’aura aucun intérêt à faire évoluer les relations de la France avec
ses anciennes colonies. Les intérêts de la France à travers ses
multinationales installées en Afrique, son rang dans l’échiquier
mondial rendent pratiquement impossible une révolution dans le
domaine des relations France-Afrique.
Cependant, ces relations ne pourront changer que si les Africains
eux-mêmes décident de s’extirper de la supercherie de 1960 qui a vu
le général Charles de Gaulle offrir l’indépendance à l’Afrique pour
éviter une véritable décolonisation. En effet comme l’affirme Alain
Bindjouli Bindjouli dans son ouvrage L’Afrique noire face aux pièges
de la mondialisation » il ne peut y avoir de décolonisation que si
le processus colonial est interrompu. » Or ce que la France a offert
à ses anciennes colonies en 1960, c’est l’indépendance, dépourvu de
décolonisation : L’indépendance c’est le pouvoir de se gérer, cela
ne signifie pas que l’on peut faire bon usage de ce pouvoir. Les
leaders africains en 1960 ont choisi en toute liberté de rester sous
le joug colonial. La décolonisation, elle, porte sur l’être. Elle
est la création d’hommes nouveaux qui se sont débarrassés des tares
et séquelles de la période coloniale. C’est une véritable
désaliénation. Cette désaliénation ne s’étant pas produite en
Afrique francophone, la décolonisation n’a pas eu lieu.
L’Afrique francophone doit couper toute seule le cordon ombilical
qui la lie à la France pour établir avec elle des
relations ‘assainies, décomplexées, et équilibrées »
Elle doit prendre son indépendance véritable en se décolonisant.
Elle ne doit rien attendre de Ségolène Royal, Nicolas Sarkozy ou de
François Bayrou. Son avenir passe par la décolonisation intégrale
qui doit s’appuyer sur la culture et la civilisation africaine, la
démocratie, la souveraineté monétaire, la bonne gouvernance et le
rejet des solutions criminogènes venues du FMI : Le Fond de misère
instantané et de la Banque mondiale.
L’avenir des relations entre la France et ses anciennes colonies
dépend de la désaliénation des élites africaines et non des
candidats à l’élection présidentielle française dont les promesses
n’engagent que ceux qui les écoutent.
Kovalin Tchibinda
Mail : kovalin@tchibinda.fr
http://news.abidjan.net/presse/courrierabidjan.htm
Boubacar Boris Diop : « Nous ne nous sommes pas assez battus contre la Françafrique »
Vous revenez dans L’Afrique au-delà du miroir sur le génocide au Rwanda qui avait déjà fait l’objet d’un livre : Murambi ou le livre des ossements. Le Rwanda semblerait être une de vos obsessions…
Cela devrait être l’obsession de tous les êtres humains, car un génocide ne peut être comparé à rien d’autre. Ce n’est pas pour rien qu’on le définit comme le crime des crimes, comme le crime absolu, imprescriptible. S’agissant du cas particulier du Rwanda, il faut en parler aussi souvent que possible, car pour beaucoup de prétendues voix autorisées, la mort de plus d’un million d’innocents en Afrique ne mérite pas qu’on en fasse toute une histoire. François Mitterrand a ainsi déclaré en 1994 que sur notre continent un génocide «ce n’est pas trop important.»
Il y a eu beaucoup d’insultes publiques tout aussi grossières au sujet du Rwanda et d’autres tragédies et cela n’a pas calmé les ardeurs amoureuses de la plupart de nos intellectuels à l’égard de la France ! Pour se faire accepter à Paris, ils en rajoutent en dénigrant l’Afrique sur tous les plateaux de télé et dans les studios des radios. Comment s’étonner dès lors qu’il y a eu brusquement des tas de livres de soi-disant experts dans lesquels on nie les atrocités de la colonisation et de la traite négrière. Dans un sens, la manière dont est traité le génocide rwandais est exemplaire de toutes ces manipulations médiatiques sur les tragédies africaines. Au lieu d’incriminer une partie de la classe politique rwandaise, on explique l’évènement de manière assez simpliste par la culture de la violence soi-disant propre aux Africains. Cette façon de raisonner n’est curieusement appliquée qu’aux Africains, car je n’ai jamais lu quelque part que la Shoah c’est la faute de tous les Allemands ou encore moins de tous les Européens. Mais je crois que tout cet écran de fumée est destiné à faire oublier la responsabilité de l’Etat français et de certains hommes politiques bien connus en France.
Mais au Rwanda même il y avait cette haine et ce mépris d’un groupe ethnique pour un autre…
Je me permets de vous faire remarquer qu’on ne peut pas parler de ‘groupe ethnique’ au Rwanda. Les Hutu, les Tutsi et les Twa ne sont en rien des ethnies au sens scientifique du terme. Ils avaient à l’époque pré-coloniale le même Dieu, ils ont toujours parlé la même langue et aucun d’eux n’a jamais pu être identifié à un espace géographique. Chez moi au Sénégal, on peut parler des Wolof, des Sérères et des Al-pulaar mais pas au Rwanda. Ce serait trop long à expliquer mais on peut dire que grosso modo ce qu’on appelle ethnies au Rwanda renvoie à une certaine division du travail. C’est un point sur lequel tous les chercheurs sont d’accord. Cela ne veut pas dire que ce pays était homogène. Un pays sans conflits ni clivages cela ne s’est jamais vu sur la terre des hommes !
Je veux bien que l’on parle de la responsabilité du Rwanda mais pour moi cela veut dire, encore une fois, une partie de la classe politique rwandaise. En outre, cela ne doit pas faire oublier qu’au Rwanda la violence politique de masse sous cette forme particulièrement ravageuse est d’origine coloniale.
Vous mettez l’accent sur l’implication et la responsabilité de l’Etat français. N’est-ce pas trop facile d’accuser les autres ?
C’est une question qui est soulevée assez souvent et pas seulement en France. Les gens disent à peu près ceci : vous feriez mieux de balayer devant votre propre porte au lieu de mêler les autres à vos affaires. Mais ce sont justement les autres qui se mêlent de nos affaires ! Faire abstraction du rôle de la France dans son pré carré, c’est comme essayer d’écrire l’histoire de l’Irak de ces dernières années sans jamais mentionner le nom de George Bush. Il est vrai que ce dernier intervient au grand jour alors que l’action de Paris est plus souterraine. Malgré tout ça n’a absolument aucun sens de faire comme si Paris n’a ni bases militaires ni intérêts économiques chez nous ! A propos du rôle de la France au Rwanda, je ne veux pas me laisser entraîner dans des spéculations abstraites sur la question de savoir qui doit accuser qui. Je sais que c’est un piège et je ne vais pas tomber dedans. La bonne question est la suivante : les faits que l’on reproche à la France dans le cas particulier du Rwanda sont-ils avérés ? C’est juste de cela qu’il s’agit. Je pense simplement que tous les dirigeants politiques, même ceux des pays riches, doivent être comptables de leurs actes. Un génocide a eu lieu en 1994 et les principaux responsables, du côté rwandais, ont été arrêtés et sont jugés à Arusha. Il me semble normal que la même justice se saisisse du cas des citoyens français qui ont été accusés. Pour moi, le problème il est là. Si cette démarche n’est pas respectée, cela veut dire que la justice internationale c’est la loi du plus fort. Des autorités civiles et militaires sont accusées en France et leurs noms sont connus de tous. Sont-ils coupables ? Sont-ils innocents ? Il existe des instances judiciaires habilitées à se prononcer là-dessus. Dans la vie ordinaire, je ne vois pas un tribunal dire à un plaignant : vous vous en prenez tout le temps aux autres, votre plainte ne sera pas examinée, allez-vous en ! vous avez bien mérité ce qui vous arrive. Les accusations ne sont pas portées contre la France en général mais contre des citoyens français bien identifiés et il y a des faits, des dates et des lieux. Certains ont peur de la vérité et ils savent bien pourquoi.
Avec le Rwanda, on est dans la Françafrique, en somme ?
On est au cœur de la Françafrique. Et il a beaucoup été question de cette dernière il y a quelques jours. Ces quarante huit chefs d’Etat et de gouvernement africains autour du président français, c’était une cérémonie des adieux, il y avait comme une étrange mélancolie dans toutes ces effusions. Ce n’était peut-être pas seulement à cause du départ prochain de Chirac, qui rappelait à beaucoup de nos dinosaures que le leur était malgré tout bien proche. Pourtant, contrairement à ce qu’on a prétendu, l’Afrique n’était pas à Cannes. Le continent n’était pas là mais plutôt ses chefs d’Etat, les mêmes que l’on a vus il y a quelques semaines à Pékin. En fait, la Françafrique semble faire des complexes ces temps-ci. J’ai noté par exemple un détail révélateur à propos du sommet de Cannes. Cette fois-ci on l’a appelé dans la plupart des médias le sommet Afrique-France. Sans doute pour que les gens n’aient pas à l’esprit le mot inventé paraît-il par Houphouët-Boigny et popularisé par le regretté François-Xavier Verschave. Il y a, certes, des signes annonciateurs de la fin d’une certaine relation franco-africaine mais il serait bien naïf de s’y fier. La mort de la Françafrique est inéluctable mais elle n’est pas proche. Nous ne nous sommes pas assez battus contre elle et je pense qu’elle va s’adapter au nouveau contexte politique pour assurer sa survie. C’est d’ailleurs une des leçons que nous pouvons tirer de nos rapports avec la France : elle a toujours su rénover ses méthodes de domination sans jamais rien céder sur le fond. Dans les années soixante, elle a inventé les Indépendances et plus tard le discours de La Baule a été une habile manœuvre de diversion. Dans quelques mois, il y aura un nouveau locataire à l’Elysée mais son nom importe peu. Il ne va pas compromettre les intérêts français en Afrique pour nous faire plaisir. On ne fait jamais de cadeau à personne et les jeunes générations doivent constamment avoir cela à l’esprit.
Edwige H.
Sommet France Afrique
http://www.survie-france.org/article.php3?id_article=874
http://www.dailymotion.com/video/5jWuyOHEy1lE98Bw5
Mais, les coptes ne se définissent pas comme des noirs, loins de là! tu annexe contre leur volonté l’identité de ces individus, les coptes ne touchent pas (ou plus) de la négrité!
Tu ne peut pas faire d’eux se qu’ils ne sont pas!
Boutros Boutros Ghali est copte, lit ses livres, il ne se décrit pas comme un noir!
Vous ne m’avez pas répondu sur votre position en cas d’escarmouche entre français et nkundaistes ainsi sur la marche que vous appeleriez à suivre… silence étonnant.
tu me parles des coptes d’aujourd’hui! moi je te parle des coptes d’hier, donc d’avant jésus christ! je te rappelle que les coptes sont implantés dans cette zone bien avant jésus christ! ne me parle pas de boutros boutros, car il date d’aujourd’hui, et il est issu d’un métissage ! les sud africains blancs sont là à cause du déplacement des européens en afrique du sud qui était originellement noire ! pour autant, ces blanc sud africains sont africains !
et ne dis pas que j’impose une identité, c’est plutot toi qui le fait en imposant que les coptes originel étaient des blancs!
tu me dis que les coptes ne se définissent pas comme des noirs, alors comme se définissent-ils ? dis moi comment on dit coptes, dans la langue du copte ? car copte c’ets un mot français!
si tu trouve l’étymologie du mot copte, et comment les copte originel appelaient leur terre, leur pays, tu comprendras bien des choses! mais comme tu en es incapable, non pas idéologiquement, masis intellectuellement et scientifiquement, je n’insiste pas!
la Maât s’impose et triomphe de tous falsificateurs de l’histoire !
Se qui importe aux coptes, c’est vant tout leur identité chrétienne monophysiste centré autour du patriarchat d’alexandrie. Les coptes d’aujourdhuis sont ls descendants directe de ceux de l’époque prégrecque, donc des « égyptiens antiques ». Si les coptes antiques avaient été noirs,cela se verrais exactement comme l’on voit aujourd’huis que les nubiens sont encore noirs tout comme c’est le cas du gros de la population somalienne malgret les métissages.
Les copts ont acquis au fond assez récement la fierté de leur identité égytienne, grace aux découvertes archéologiques puisque dns l’espit de ces croyants fervants que sont les cptes, l’égypt antique est avant tout ‘age païen, celui ou il n’y avait pas de saut mais uniquement le pécher.
Leur regard et ceux des autres égyptien a changer sur leur passé antique de manière récente.
La seule vérité historique, est que les coptes actuels sont les descendants peu ou pas métissé des égyptiens de l’antiqueité et qu’ils ne sont, ne t’en déplaise, pas noirs!
Pour en revenir à des choses plus sérieues, qu’elles sont vos consignes si il y a comat entre les français et les troupes de Nkunda en RDC?
au fait, Bongo (gabon), Denis Sassou Nguesso (Congo-Brazza) et Teodoro Obiang (Guinée équatoriale) sont poursuivit en france par des ONG pour avoir acheté des villas ave des biens publics d leurs pays respectifs.
Je suis désolé de répété ma question pour la enième fois… mais s’il y a des tirs de Nkunda sur les européens en RDC qu’elle est votre position?
Votre silence me semble lourd de signification. Je vais vous dire comment je l’interprète. Issus du Congo Brazzaville, vous vous sentez solidaires vis à vis des bas congo de RDC qui sont en guerre contre les Tutsis de RDC (soutnus par le Rwanda tustsi). L’intervention européenne serait favorable à votre tropisme bas congo mais vous ne pouez l’admettre étant anti intervention extérieure à l’frique et cec de manière dogmatique.
Je pense que es allégences contradictoires snt l’explication d’un tel silence. Cela explique aussi pourquoi, faute de ieu vous lancezdes rumeurs sans fondement contre l’ONU.
Ai-je tor?