Oui, il faut parler de Gorée. Mais il faut aussi dire que c’est l’une des quatres villes du sénégal ou en 1848 la république française a accordé la citoyenneté française à tout les habitans.
Il faut dire que la vie politique était dominé par les métis et que les blanc étaient une très faible minorité
Il faut dire que le premier député de la région à l’assemblé nationale française fut un métis
Il faut aussi dire que se furent les habitants de cette partie du sénégal qui poussèrent les autorité à commencé la conquète de l’intérieur des terres pour que la colonie ne dépérisse pas suite à l’interdiction de la traite et de l’esclavage.
Il faut dire que c’est de là que les soldats sénégalais sous drapeaux français et pour un certain nombre citoyens français partirent à la conquète de l’intérieur des terres afin de rendre pérenne leur colonie et d’interdire l’esclavage qui était une institution dans les royaumes africains de l’intérieur des terres.
C’est aussi de Gorée que vinrent une partie des africains qui eurent la chance de recevoir un enseignement scolaire qui bien que souvent mal adapté (« nos ancètres les gaulois… ») leur permis d’envisager l’afrique comme un ensemble.
Ceux qui vendait des esclaves aux européens, qui combatirent ensuite pour a colonisation contre l’esclavage, qui furent député à Paris, qui répendirent les langues européennes afin que sur de vatses espaces les africains se comprennent, qui combattirent le nazisme sous drapeau français, qui ensuite demandèrent une modification des rapport entre europe et afrique, qui aujourd’huis travaillent à l’unité africaine sont des etres affiliés.

Ce sont ces populations ayant une origine culturelle eurafricaine qui ont fait de l’afrique ce qu’elle est aujourd’huis et gorée permet de l’expliqué si ce lieu symbolique n’est pas manipulé!

Cet article va me permettre de vous montré une vision plus subtile et nuancé de l’histoire:

Pour faire simple, à l’aube du XVIIème siècle, des européens cherchant avant tout à contourné l’afrique pour allé commercé en inde construisire un petit établissement à Gorée afin de pouvoir faire des pauses dans leur long périple.

Une petite ville s’établit peuplé de quelques centaines de blanc, d’environ 2000 métis et de 6000 noirs.

Les populations dorigine indigène ce sont établit dans ces villes comme gorée pour commercé. En effet, les européens établit là pouvaient vendre un certain nombre d’objet qui leur parraissait de peu de valeur mais qui était insolite ou utile aux yeux des africains.
Les africains quand à eux pouvait vendre de l’or, de l’ivoire, des peau et des esclaves dont le commerce était très courant entre les empires africains de l’intérieur.

Les élites indigènes des cotes acquirent les langues des allogènes et servirent d’intermédiaire pour faire venir des esclaves de l’intérieur des terres ou auccu européen n’avait jamais mis les pieds.

Mais, au cour du XIXème siècle, les européens interdirent la traite puis l’esclvage dans leurs colonies. En 1848 les populations des vielles colonies française dont la population était de culture eurafricaine reçut la citoyenneté française et cette meme année, les sénégalais envoyèrent un député métis à l’assemblé nationale française.

Mais, pour Goré (ainsi que Rufisque, Dakar et saint Louis qui avaient le meme statut) la fin de l’esclavage voulait dire la mort économique.
Les élites noires, métis et blanches de ces villes ne virent qu’une solution: prendre le control de territoires à l’intérieure des terres pour y dévellopé des cultures d’exportation rentable pour les établissements cotiers.

Des soldats sénégalais ayant pour une part d’entre eux la citoyenneté française partis à la conquète de l’intérieur accompagné d’une petite poingné de français.

Une fois l’intérieur conquis, les députés du sénégal se firent les demandeurs auprès de la France d’investissement qui arrivèrent. Dans le meme temps, là ou les sénégalais plantaient le drapeau français, l’esclavage était abolit.

La France mis à proximité de Gorée, à saint-louis un embryon de sustème éducatif complet qui permis à un nombre plus grand de sénégalais d’accédé à l’enseignement.

C’est alors que nacquis l’idée panafricaine et se n’est pas un hasard si c’est à Paris qu’eu lieu le second sommet panafricain.

En 1914, la France en la personne de Diagne acceuillait sont premier député nnoir.

Durant la seconde guerre mondiale, les goréens citoyens français depuis prçès d’un siècle combattirent le nazisme avec les memes droits et devoirs que les français métropolitains.

Après guerre, une partie des africains et une partie des français demandat une redéfinition des rapports métropole-territoires d’outre mer.
Les habitant des quetres communes dont les goréens furent à la pointe.

C’est cela l’histoire de goré: Celle de populations diverse ayant une identité eurafricaine qui un temps furent les artisans de l’exclavage, qui lancèrent l’aventure colonial franco-sénégalaise mettant fin à l’esclavage des africains par les africains en afrique, qui combattirent le nazisme sous drapeau français, qui demandèrent de nouveau rapport entre la France et ses colonies et qui aujourd’huis sont à la tete du panafricanisme comme de la Francophonie.

Et oui, l’histoire n’est jamais en blanc et noire. Tout est en subtilité et les identités ne sont jamais des choses simples… ceci nuance t’il un temps soi peu votre vision manichéenne des choses

Cet article va me permettre de vous montré une vision plus subtile et nuancé de l’histoire:

Pour faire simple, à l’aube du XVIIème siècle, des européens cherchant avant tout à contourné l’afrique pour allé commercé en inde construisire un petit établissement à Gorée afin de pouvoir faire des pauses dans leur long périple.

Une petite ville s’établit peuplé de quelques centaines de blanc, d’environ 2000 métis et de 6000 noirs.

Les populations dorigine indigène ce sont établit dans ces villes comme gorée pour commercé. En effet, les européens établit là pouvaient vendre un certain nombre d’objet qui leur parraissait de peu de valeur mais qui était insolite ou utile aux yeux des africains.
Les africains quand à eux pouvait vendre de l’or, de l’ivoire, des peau et des esclaves dont le commerce était très courant entre les empires africains de l’intérieur.

Les élites indigènes des cotes acquirent les langues des allogènes et servirent d’intermédiaire pour faire venir des esclaves de l’intérieur des terres ou aucun européen n’avait jamais mis les pieds.

Mais, au cour du XIXème siècle, les européens interdirent la traite puis l’esclvage dans leurs colonies. En 1848 les populations des vielles colonies française dont la population était de culture eurafricaine reçut la citoyenneté française et cette meme année, les sénégalais envoyèrent un député métis à l’assemblé nationale française.

Mais, pour Goré (ainsi que Rufisque, Dakar et saint Louis qui avaient le meme statut) la fin de l’esclavage voulait dire la mort économique.
Les élites noires, métis et blanches de ces villes ne virent qu’une solution: prendre le control de territoires à l’intérieure des terres pour y dévellopé des cultures d’exportation rentable pour les établissements cotiers.

Des soldats sénégalais ayant pour une part d’entre eux la citoyenneté française partis à la conquète de l’intérieur accompagné d’une petite poingné de français.

Une fois l’intérieur conquis, les députés du sénégal se firent les demandeurs auprès de la France d’investissement qui arrivèrent. Dans le meme temps, là ou les sénégalais plantaient le drapeau français, l’esclavage était abolit.

La France mis à proximité de Gorée, à Saint-Louis un embryon de système éducatif complet qui permis à un nombre plus grand de sénégalais d’accédé à l’enseignement.

C’est alors que nacquis l’idée panafricaine et se n’est pas un hasard si c’est à Paris qu’eu lieu le second sommet panafricain.

En 1914, la France en la personne de Diagne accueillait sont premier député noir.

Durant la seconde guerre mondiale, les goréens citoyens français depuis près d’un siècle combattirent le nazisme avec les mêmes droits et devoirs que les français métropolitains.

Après guerre, une partie des africains et une partie des français demandèrent une redéfinition des rapports métropole-territoires d’outre mer.
Les habitants des quatre communes dont les goréens furent à la pointe.

C’est cela l’histoire de Gorée: Celle de populations diverse ayant une identité eurafricaine qui un temps furent les artisans de l’esclavage, qui lancèrent l’aventure colonial franco-sénégalaise mettant fin à l’esclavage des africains par les africains en Afrique, qui combattirent le nazisme sous drapeau français, qui demandèrent de nouveau rapport entre la France et ses colonies et qui aujourd’hui sont à la tète du panafricanisme comme de la Francophonie.

Et oui, l’histoire n’est jamais en blanc et noire. Tout est en subtilité et les identités ne sont jamais des choses simples…………

DSL, j’ai cru que mon commentaire ne passait pas alors j’ai insisté…
Bon joueur, je vous laisse choisir la version qui vous convient!

« Ce sont ces populations ayant une origine culturelle eurafricaine qui ont fait de l’afrique ce qu’elle est aujourd’huis  »

ya pas de quoi être fière !

Si ces élites n’avaient pas été là, les cotes africaines serait désertes, la population africaine stagnerai à 100 000 000 d’habitants et l’esclavage serait encore corant dans toute l’afrique.

Ces élites n’ont pas tout réussit, mais étant donné les conditions elles n’ont pas tout loupé loin de là. Elles ont posé les bases du dynamisme africain actuel.

Et la question d’un point de vue historique n’est pas de savoir le bien ou le mal mais de savoir se qui est et ce qui est, c’est aue l’afrique est un univers aussi composite que vaste qui tient sont unité des éléments eurafricains qui sont le vrais point commun entre toutes ses parties.

Moi je ne construit pas d’histoire mythographique.