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C’était pendant une période de grande famine dans la forêt. Les animaux ne trouvaient plus de nourriture. La hyène, qui n’avait pas mangé depuis des jours se mit à marcher droit devant elle à travers la forêt pour chercher quelque chose à se mettre sous la dent. et comme il faisait chaud ce jour là, elle s’abrita sous un arbre. S’étant adossée au tronc de l’arbre, elle l’entendit lui dire: « sacrée chaleur! » Surprise notre hyène s’écria : « un arbre qui parle! »
A la suite de cela, la hyène tomba raide étendue par terre. Au bout de quelques instants, une goutte de rosée vint chatouiller le nez de la hyène qui se réveilla. Alors, l’arbre lui dit ceci : « ne dis jamais cela quand tu me vois ». Je te laisse la vie sauve pour cette fois. Mais surtout n’oublie pas ce que je t’ai dis. a la suite de cet incident, une idée germa dans la tête de notre hyène qui avait trouvé là un moyen pour se remplir la panse.Elle se mit à élaborer un plan.
la hyène alla trouver les autres animaux de la forêt leur disant avoir trouvé un arbre magique qui exaucait les voeux de tout la monde mais à condition de dire la phrase suivante: « ca alors un arbre qui parle!. elle alla trouvé le singe a qui elle conta son histoire et ensemble ils partirent donc et après de nombreux détours, la hyène l’amena à l’endroit où se trouvait l’arbre. Le singe, surpris, s’écria « Ca alors! un arbre qui parle! ! ! » ausiitôt l’arbre le frappa de ses branches et il tomba raide mort. Comme elle l’avait prévue, la hyène avait maintenant de quoi manger.
Chacun à son tour l’accompagnait à la recherche de nourriture. Prenant confiance dans sa ruse, elle se mit à manger des animaux de plus en plus gros et puissants mais peu malins . Au fur et à mesure que la forêt se vidait, la hyène grossissait. Pendant qu’elle emmenait les autres animaux vers l’arbre et se nourrissait de leur chair, le lièvre la suivait. Puis vint le jour où se disant qu’il était temps de gouter à la chair d’un lièvre, elle alla trouvé le lièvre et lui conta la même histoire.
Le lièvre lui retorqua qu’il n’avait pas bonne mémoire mais ferait un effort de se souvenir car se serait trop bête de passer à côté d’une telle occasion. Elle accompagna le lièvre affamé jusqu’à l’arbre. Mais arrivé là-bas, le rongeur fit celui qui ne se souvenait plus de ce qu’il fallait dire.
» – Un arbre qui….? fit le lièvre ,
- Ben,alors, tu te souviens plus? Si tu veux voir ton voeux se réalisé il faut dire un arbre qui pa….!
- « Oui je sais mais j’essaies de me souvenir, un arbre qui pa.., qui par… , qui pa…
Au bout d’une heure , le lièvre n’avait toujours pas dit la fameuse phrase:
- « ca alors! un arbre qui pa.., qui pa…, qui pa…!
- » Un arbre qui par… lui souffla la
- Ca y est fit le lièvre » ça alors! un arbre qui pa…, qui pa…, qui pa…
- »Un arbre qui parle imbécile ! » Dit la hyène.
Aussitôt l’arbre la frappa de ses branches et ne la réveilla pas cette fois-ci.
Sur ce, le lièvre s’en alla laissant aux charognard le corps sans vie de la hyène.
Moralité : Il y a toujours une limite en tout. Celui qui se croit rusé, comme la hyène, trouvera toujours quelqu’un pour le surpasser
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