le contrôle et l’alienation des afro-antillais,
applicable a tous les kémites inconscient.
Verset 971
Notre rhum qui est en fût
Que ton goût soit sanctifié
Que ton règne vienne
Que ta distribution soit faite
Sur la table comme au bar
Donne nous aujourd’hui
Notre punch quotidien
Pardonne nous nos gueules de bois
Comme nous pardonnons aussi
A ceux qui boivent du coca
Soumets-nous à la tentation
Et délivre nous de la soif
Car c’est à toi qu’appartiennent
L’arôme et la fraîcheur
Pour les siècles des siècles
Amène (le citron)
http://www.dailymotion.com/video/7lv7k4XuGX2lFkoPP
C’est débile et cela signifie quoi?
Il n’y a pas que l’antillais qui soit aliéné voir les RAMAHA YADE et autres.
Vous avez raison, Il n’y a pas que l’antillais chaque noirs partout où il est entretien des clichés. le rhum pour l’antillais, la ganja pour le jamaicain, la drogue et le bling bling pour l’afro-américain et de façon générale la misère pour l’afrikain.
Et globalement tous ces clichés confondu sont attribué aux noirs en général.
Autrefois, on nous reveillait très tôt pour aller cultiver la terre. Je nourrissais d’ailleurs une passion particulière à y aller. Car travailler la terre, était une belle façon de s’identifier dans la société, me disait-on. Et c’était absolument merveiller de raconter aux camarades de classe les fruits de notre LABEUR. Les années ont passé, c’est vrai, les nouvelles technologies ont fait leur apparution, la demande est devenue de plus en plus importante, c’est aussi vrai, mais c’est surtout l’exportation et la recherche du profit absolu qui finiront par avoir raison sur nos populations. On sait où on en est aujourd’hui avec toutes ces idéologies prônées par les états voleurs et capitalistes. Tétanisés, certains se refugieront dans le RHUM – GANDJA – FôFô – MATANGO et toutes sortes d’alcool. D’autres par contre, comme certains Afro-américains fortunés, exhiberont leur BLING-BLING pour démontrer leur puissance financière. Une dernière catogorie de kamit d’où qu’ils viennent, mettre plus tôt en avant leur manque de conscience et de culture ancêtrale au profit de la servitude de Nyambe des Mindélés. Où va-t-on? Nous ne sommes pas tous perdus, heureusement d’ailleurs.