President
Republic of South Africa
August 2, 2007
Mr President,
Yesterday, striving constantly to overcome my primitive understanding of the French language and its poetry, I found time to read the powerful and moving Address you delivered at the University of Dakar, Senegal, on July 26.
Nevertheless, I have no hesitation in saying many thanks for what you said, and the manner and place where you said it.
I would like to believe that I understand fully the challenge you placed at our feet, as Africans, when you said : “Mais, de ses malheurs, l’Afrique a tiré une force nouvelle en se métissant à son tour. Ce métissage, quelles que fussent les conditions douloureuses de son avènement, est la vraie force et la vraie chance de l’Afrique au moment où émerge la première civilisation mondiale”.
I would also like to believe that I understand fully the task you set us, as Africans, when you said : “Alors, mes chers Amis, alors seulement, l’enfant noir de Camara Laye, à genoux dans le silence de la nuit africaine, saura et comprendra qu’il peut lever la tête et regarder avec confiance l’avenir. Et cet enfant noir de Camara Laye, il sentira réconciliées en lui les deux parts de lui-même. Et il se sentira enfin un homme comme tous les autres hommes de l’humanité “.
When you spoke at the University of Dakar you addressed both the African youth and all of us as Africans, regardless of age and place of domicile.
You spoke to us, but I sincerely hope that your message will be heard by the entire human society. It cannot be that anybody can claim that humanity is advancing towards the creation of a global people-centred society while Africa remains mired in the entrenched problems with which all thinking human beings are very familiar.
We will do our best to acquaint our people, our continent and the rest of the world with what you said on July 26 at the University of Dakar.
But beyond this, we will assess what we have to do practically to respond to the challenges you had the courage and the honesty to address when you spoke at the University of Dakar.
A few years ago I communicated the opinion to senior French corporate leaders we were privileged to host in our country, that history has defined France as an African citizen. I said then, that this placed us in the fortunate position that, necessarily, we would have France, a fellow citizen of Africa, on our side, as we strived to respond to our challenges as Africans.
What you said in Dakar, Mr President, told me that we are fortunate that we can count on you as such a citizen of Africa, as a partner in the protracted struggle to achieve the true Renaissance of Africa, within the context of the renaissance of Europe and the rest of the world.
My view was confirmed by what you said in Libreville, Gabon, that : “Nous voulons aider les pays d’Afrique sur la voie du développement et sur la voie de la diversification … J’aime l’Afrique, j’aime les Africains, je les respecte“.
Mr President, please accept the assurance of our highest fraternal consideration.
Thabo Mbeki
H.E. President Sakozy
President
Elysée Palace
Paris
French Republic
Pour lire la lettre en français cliquez ici
Dans ce texte (dont je ne possède pas la versions complète) les égyptiens adoptent l’euphémisme de « captifs » dans lesquels il y a des hommes, des femmes et des enfants puisque les peuples qui migrent alors migrent en totalité.
Je t’ai donner la référence pour mes sources européennes, sémitiques et égyptienne, la vérité est sous tes yeux fulele. Je t’ai meme indiqué ou lire cuqu’un de ces textes, pour un foi c’est à toi de faire l’effort de macher vers un fait véridique.
Baraton le medu neter je ne le maitrise pas mais j’ai appris à le déchiffrer.
ce que je veux te faire comprendre c’est que si tu ne comprends pas une langue je peux t’en faire une traduction et tu ne seras pas pour autant en mesure de me contredire.
Alors quand je te dis qu’il n’existe pas de textes originaux où l’on parle d’esclavage c’est un fait.
Quand tu dis captif tu fait part d’une traduction. Et toi tu décides que le mot captif n’est pas si différent d’esclave.
Il faut savoir que les mots « esclave » et « esclavage », utilisés pour décrire une situation d’asservissement déshumanisé d’hommes et de femmes à un seigneur ou maître, n’existent pas en langue hiéroglyphique .
On trouve tout au plus, le mot » bak » qui désigne le « serviteur ». C’était un homme libre, marié ou non et salarié pour son travail (la graphie « bak » représente un homme libre. Le féminin est « bak.t »).
On a ensuite le mot » hm » (hem) qui désigne aussi le « serviteur » mais il faut savoir que ce même terme, s’applique aussi à pharaon, aux prêtres et aux dignitaires. Ainsi dans les textes, pharaon est très souvent désigné par le terme « hm=f » traduit par « sa majesté ».
Enfin, le mot » Sekher ankh » à savoir « vivant blessé » s’appliquait exclusivement aux captifs de guerre.
J. Baillet, égyptologue et auteur d’une étude linguistique sur la question, est particulièrement explicite : « Pour désigner l’esclave, la langue égyptienne n’a pas de mot spécifique. Ce n’est pas qu’elle manque de termes pour exprimer les idées de subordination, de travail, de services.
Au contraire, elle rend ces idées par des termes nombreux. Mais aucun d’entre eux ne correspond exactement à l’idée de servitude, c’est-à-dire de possession de la personne corps et biens, de sujétion et de dégradation, comme les mots latin ou grec « servus », « doulos ».
Ni leur emploi, ni leur sens intime et leur étymologie, autant qu’on peut les saisir, ne les vouent à cette signification ».
C’est à peu près ce que révèle l’égyptologue Alain Anselin à propos du terme « hm » dont le féminin « hm.t », désigne…. une femme mariée [8] : « Il nous parait toutefois (le terme « hm ») exprimer originellement une relation de dépendance et non une relation de propriété puisque l’égyptien y recourt pour qualifier la majesté pharaonique « hm=f » (sa Majesté), la prêtrise la plus élevée « hmk3 » et en opposition à « s.t » la femme, « hm.t », l’épouse ».
Ainsi, comme le confirme encore l’égyptologue Robert-Jacques Thibaud [9] : « Contrairement aux idées reçues et répandues depuis des siècles (…) l’Egypte pharaonique n’a pas utilisé d’esclaves pour la construction de ses temples ou des monuments destinés à ses rois »
toi ceux que tu prends pour des esclaves en fait Il s’agit, après examen de divers textes égyptiens, de cas où des débiteurs pouvaient de leur plein gré, décider de se mettre momentanément au service de leurs créanciers pour solder leur dette. Sur un autre plan, le petit personnel des temples, résultat de captures de guerres , était souvent « engagé pour effectuer un travail déterminé » mais ces hommes et femmes « étaient rémunérés » et cela « donnait lieu à un transfert de services matérialisé par la perception d’un droit de cession ».
Chose particulière, les captifs de guerre, « par des procédés éducatifs » finissaient par s’insérer dans la société égyptienne après avoir franchi les trois étapes progressives suivantes , sans qu’il soit porté atteinte à leur humanité :
1- Assimilation par le nom et la langue à la société égyptienne (rupture avec le milieu originel),
2- Affectation à une demeure (temples, maisons de grands dignitaires, domaines royaux…),
3- Affectation à un corps de métiers ou à l’entourage royal (pour les princes et princesses).
Ces derniers pouvaient enfin évoluer dans la société égyptienne, dès lors qu’ils avaient embrassé les idéaux de leur nouvelle patrie.
Compte tenu de l’analyse du champ sémantique des termes égyptiens (bak, hm et sekher ankh) exprimant l’idée d’une dépendance excluant toute idée de possession d’individu et de déshumanisation, comme le terme latin Sclavus, on peut affirmer sans se tromper, que les définitions indo-européennes et sémitiques de l’esclavage sont inapplicables pour Egypte ancienne et même pour l’Afrique impériale et que parconséquent cette pratique n’a point existé en Afrique noire de la période pharaonique.
Quand à la stratégie qui consiste à créer des divergences ethniques artificielles entre Egyptiens et Nubiens, rappelons la déclarations de Gaston Maspero, qui affirma que selon tous les chroniqueurs de l’antiquité (il s’agit de témoins visuels pour beaucoup), « les Egypiens appartenaient à une race africaine, entendez nègre, qui d’abord établie en Ethiopie, sur le Nil moyen, serait descendue graduellement vers la mer en suivant le cours du fleuve… »
En conclusion ton propos est inconsistant et donc nul et non avenue !
je clos le débat et ne participerait plus à un telle dialogue de sourd.
Et puisque tout ce que tu veux entendre ai que les égyptiens ont été esclavagiste je t’autorise à le dire et le penser mes de ma bouche même pour te faire plaisir jamis je souillerais la mémoire de mes ancêtres.
De plus par rapport à la page nous sommes hors sujet
tu dis : « Dans ce texte (dont je ne possède pas la versions complète) les égyptiens adoptent l’euphémisme de “captifs” »
donne nous alors cet euphénisme de captifs des égyptiens!
Le processus d’assimilation dont tu parle est attesté champ XIV de ce mem livre de l’Odyssé. Le texte précise que c’est là le sort du chef de l’expédition. Mais, ce chef d’expédition qui raconte les fais nous dit qu’il vois par contre ses hommes emmené en « travail forcer ».
L’assimilation a exister (mais les assyriens, qui n’était pas des noirs et là je ne veut meme pas en discuté, faisait de meme en assimilant une partie des effectifs des vaincus) mais elle ne servait que pour une part. Pour le reste, l’explication, qui n’a rien didéologique puisque l’odyssé montre tout le monde pratiquant l’esclavage quelque soi la civilisation, est cohérente.
Le système égyptien fut mixte assimilation pour les chefs et « travaux forcer pour les autres »
tu nous raconte encore des sornettes! à ta question de l’Odyssée, je t’ai déjà répondu : c’est un récit fictif, mythique! maisz comme tu ne lis jamais les réponses, ca ne m’étonne pas! crois tu au père noel, barathon? moi non!
reproduis nous la totalité de ton fameux chapitre je ne sais combien! et n’oublie pas de nous donner la nationalité de chaque personnage!
tes mensonges finissent par te rattraper!
Mon cher Mba, je ne vais pas te recopier tout l’Odyssé non plus! je t’en est déja recopier un passage substanciel plus haut!
lis toi meme se jolis petit morceau de relativisme. Champ XIV.
Alors pour toi, si la bible, l’odyssé et ramses III parlent de la meme chose (migration des peuples de la mer) avec chacun un point de vu différent mais concordants, les trois mentent?
Les grecs de l’antiquité s’en foutaient que les égyptiens soient ou non esclavagistes, ils n’ont aucune raison de mentir sur tout au VIIIème siècle av jc moment auquel le texte fut rédigé dans sa version actuelle!
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histoire d’illustré mon passage de l’Odyssé et de le remmettre dans son contexte, les prisonniers sur la stèle, ils sont au club med?
désolé, j’ai lu le passage que tu as transcrit, et je n’ai vu aucune ligne où on ne dit que les égyptiens pratiquaient l’esclavage!
je n’ai pas de temps à perdre à lire l’odyssée, car je sais que c’est une oeuvre ficitve et mythique, au même titre que la bible! je ne crois pas au père noel ou à la vierge marie, comme toi!
et je constate également que c’est une pure perte de temps de débattre avec toi! tu n’es pas historien, dans le sens de la cette personne qui pratique la science de l’étude des hommes, des sociétés et des événements du passé.
tu es un conteur d’histoire, un littéraire qui écrit des romans pour adolescents!
par conséquent, bon vent!
les falsificateurs de l’histoire humaine comme toi, nous on les macchétum, on les réduit au silence, et même à la mort!
nous sommes ici pour essayer d’apporter des connaissances scientifiques, donc avec des preuves tangibles et irréfutables pour que tout Kémite se connaissance, après la Déportation (esclavage), la Déshumanisation et l’Occupation (colonisation) des Kemit!
ta place n’est pas ici, rejoins Le Cercle des Poetes Disparus, ou au pire, un Zoo où l’on pourra prêter attention à ta personne, puisque c’est ce que tu cherches manifestement!!!
Qu’elle violence et qu’elle haine inutile!
Les textes antiques doivent etre décortiqué car meme mélanger à un contenu religieu ils tiennent une part de réalité; il N’y a pas alors de séparation séculaire et religieu. Les choses se mèlent.
Le role de l’historien est de déméler les deux.
Et « Travail forcer » cela ne t’évoque rien? Moi cela m’évoque bien des choses.
Tu est aveugle selon tes vues idéologiques tu est un ridicul revenchard. On ne refait pas l’histoire, on la comprend et on prend se qui est utile!
Tout comme on ne batit pas une maison sur du sable mouvant, on ne fait pas l’histoire en la falsifiant!
c’est mon dernier mot!
tu ne sais pas se que c’est de faire l’histoire, tu n’en a visiblement jamais fait en historien, tu est un idéologue.
tu est un manichéen risible.
Pour ceux que cela interresse, lisez le livre XIV de l’odyssé.