Deux réponses:
-La première réponse nous vient de George Lawson-Body, professeur en Guadeloupe où il enseigne l’économie.
Il fournit une réponse mais pas de solution concrète à la construction de notre identité, de nos REPÈRES.-La deuxième réponse nous vient de Juliette Smeralda, professeur à l’université Marc Bloch de Strasbourg.
Elle nous fournit une réponse MAIS une piste de solution CONCRÈTE à la construction de notre identité, de nos REPÈRES.
Elle pointe du doigt les concepts ponduent jusqu’aujourd’hui qui posent la question de notre identité, de nos repères dans des thématiques creuses, vides.
On voit clairement dans cette vidéo, deux visions du Monde différentes qui est palpable dans notre communauté.
-La première vision est celle des hommes qui sont restés dans une prison identitaire que le Maître a construit pour eux. Même lorsqu’ils sont désaliénés, ils continuent à voir le monde sous ce prisme sans s’en défaire au point de tomber amoureux, d’affectionner, cette prison identitaire en voulant la revaloriser dans des termes vides de sens et ne pas s’interroger concrètement sur les vrais questions qui touchent la construction de nos repères.
-La deuxième vision est celle des femmes qui sont beaucoup plus pragmatiques et qui sont arrivées psychologiquement à un autre niveau, un niveau supérieur.
Autrement dit, dans notre communauté les hommes sont restés amoureux et prisonniers de la philosophie de la plantation ou du chef de village omnipotent alors que les femmes sont déjà entrées dans la modernité. D’un coté on a les amoureux et de l’autre les pragmatiques.
Dans cette vidéo, on voit clairement que Juliette Smeralda est déjà dans la philosophie de l’Uhem Mesut qui jaillit d’elle dans une grande colère et avec raison. On y voit sa préoccupation pour qu’on règle définitivement ce problème de notre identité, de nos repères.
http://www.dailymotion.com/video/kw1Xpp4PucGtALBstQ
Héritage de l’esclavage
http://www.dailymotion.com/video/k51K71PvWrQVp2BE3t
Pour toutes ses raisons, je suis favorable à un leadership pragmatique. Cependant, nous pouvons constater que le pragmatisme dans notre communauté se trouve plus largement rependu chez les sujets féminins. Ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’hommes pragmatiques, mais les faits sur la durée nous montrent que ce trait de caractère est beaucoup plus marqué chez les sujets féminins quelque soit les difficultés du quotidien. (N.SIMANGA)
Aminata Traoré , L’Afrique qui gagne
http://bworldconnection.com/index.php?option=com_content&task=view&id=55&Itemid=70&idA=192&rub=bworld
Pour terminer sous une note un peu plus légère
La fièvre tout le temps
http://www.dailymotion.com/video/k1xMAQNXm4AM4NpoUh
Vraiment l’intervention de juliette esmeralda dans la premiere video ma fait enormement plaisir. L’important pour nous les noirs se n’est pas de toujours dire oui ont na souffert patati patata. Car pour commencer notre histoire ne commence avec l’esclavage ou la colonisation, se sont les peuples qui nous dominent qui veulent nous le faire croire. Defois je vois des noirs qui preferent parler de l’esclavage et de la souffrance, que de notre passé glorieux plus lointain. J’accepteré qu’ont parle de l’esclavage, si au bout de la discution, des solutions au conséquence de l’esclavage sont evoqué, mais a quoi bon parlé de sa juste pour remettre sur le tapis la souffrance des noirs. En realité ceux qui parlent de l’esclavage sans cesse, ne pensent qu’a une chose: SE FAIRE ACCEPTER PAR CE QUI A ETAIT SON MAITRE. la solution c’est, ni des blancs, ni des chinois ou des arabes, mais de nous les noirs, les kémite. Faut pas se voiler la face, aujourd’hui en general le noir attent que le blanc l’accepte, il attent et le temp qui passe ne l’attent pas. Le temps passe le blancs avance, et le noir perd. Tant que le noir n’aura pa compris qu’il est la solution a ses probleme sa ira mieux. Meme remarque pour ceux qui veulent prouver la grandeur passé du peuple noir au blancs et autres, le jour ou les noir seront conscient que leur histoire ne commence pas avec l’esclavage sa ira, pas une minorité comme aujourd’hui mais tout les noirs tous sans exeption sa ira. Le jour aussi ou tout les noirs du monde, seront pres a mourir pour l’afrique kemet. le jour ou les noirs renoueront avec les ancetres également sa ira. Voila ce qu’il faut arreter d’attendre les autres, ou d’essayer de prouver quoi que se soit au autres la solution appartien a nous les kémite.
TRES JUSTE CE QUE TU DIS MAIS J ESPERE QUE TUESSAYE AU MOINS A TITRE INDIVIDUEL D INCARNER CE QUE TU RECOMMANDES AUX KEMITES.
CAR NS DEVONS MONTRER L EXEMPLE.
CRITIQUER UN SYSTEM NE SUFFIT PAS IL FAUT EN INVENTER UN AUTRE ET EN AVOIR LE LEADERSHIP.
BON COURAGE A TOI ET ENCORE MERCI POUR TON COMMENTAIRE
Le mot charisme convient mieu que leadership » et hégémon que « leader ». Ce n’est que de la sémantique mais j’y tient
Le mot charisme convient mieu que leadership » et hégémon que « leader ». Ce n’est que de la sémantique mais j’y tient. Si vous voulez le dire en punque (langue de carthage) barca semble etre une transcription correcte (siifie en ros homme charismtique, meneur). En latin dux convient,vous l’avez aussi dans sa version italienne de duce, mais, depuis un certain mussolini ce terme est passé de mode.
Autrement vous avez le fhureur allemand mais là encore c’est un terme qui bizarement n’est pas très populaire.
S’il vous plais cessez de vous macdoïsez et rangez votre « leadership » et tout ses dérivés.
TU AS VRAIMENT UN PB AVEC LES ANGLOPHONES.
MOI NON.
Je n’est de problème avec cette langue que lorsqu’on l’utilise par faiblesse alors que la langue que l’on utilise offre une gamme de termes mieux adaptés.
Etant donné le thème de ce site j’accepte par contre avec plaisir les africanismes (avec si possible des traductions et une éthymologie bien évidement).
Il faut coloré le français de termes aussi beaux, précis efficaces et métissés que possible, notre langue na gagne rien à cédé face à la pression anglophones sans l’acceuillir avec circonspection.
un mélange de francophone et anglophone cela ne fait-il pas un bon métissage?
dans mon acception « Leadership » est à prendre au sens de « guide ».
L’apport anglophone est utile mais s’il est fait avec esprit crittique, s’il est porteur d’un sens qui enrichi la langue et non qui marginalise des termes propres plus légitimes et plus esthétiques.
J’aime particulièement lorsque les termes sont introduis par des individus qui par leur origine sont attach à une autre langue que le français, voila pourquoi sr e site je serait heureux de voir plus de transcriptions africaines.
Et puis Fulele, tes origines anglosaphones me semblent bien ténues non?
Dans la mesure où l’occident et en particulier les francophones et anglophones ont dépeupler notre continent à travers l’esclavage et que ces populations à qui l’on avait iinterdit de parler leur langue afin de bien les déraciner sont aujourd’hui incapable de parler ne serait-ce qu’une parmis toutes les langues du continent.Parconséquent il ns faut nous adapter à eux pour renouer le lien. Et cela passe par l’usage d’une langue commune avant qu’il ne puissent se réapproprier la langue de leurs ancêtres.
Mais il faut savoir que même sur la terre mère on a fait la même chose en ns imposant le français ou l’anglais.
Réjouis toi en effet car autrement tu serais perdu sur ce site.
Donc sache que si sur ce site il y’a peu d’inscription en francais c’est pour mes frères antillais.
Mais les esclavagistes on réussi leur coup car en effet ils nous est difficile de communiquer entre nous dans une langue commune et africaine.
Et je vois que tu prends le relais de tes pères à vouloir ns imposer ton paradigme.
Et ben sache qu’ici ns sommes dans un espace libre.
« Et puis Fulele, tes origines anglosaphones me semblent bien ténues non? » : d’où tiens tu ces info? ou ne sont ce que des fabulations à nouveau?
Fulele étnt congolais, il est issus d’un espace afro-francophone, il est donc bien légitime qu’il unitilise le françis, des langues africains mais l’anglais est bien étrange à sa culture.
Pour se qui est de reveniu à des langues affricaines pour les africains francophones, anglophones ou autres, c’est aussi illusoir que pour les phrygiens hellenophonesdu IIème siècle de revenir massivement au phrygien, Que pour les gaulois du premier siècle de quitté le latin pour l’une des langues celtes. C’est aussi illusoir pour les amérindiens hispanophones du pérou de revenir aux langues amérindiennes.
Ce n’est pas une question d’imposition d’une volonté mis d’observation d’une réalité.
Ces langues ont fait l’objet d’une acclimatation en afrique e non ‘un simple acclimatement (comme le néherlandais en indinésie par exemple ou la langue d’origien euopéenne est resté extérieure à la culture locale).
J’aime la rigueur sémantique, les mots ont es sens précis. Si le vocabulaire français a une carence l’on peutsoi utilisé un néologisme en faisant appel à une racine grecque, latine, française, arabe, négr-africaine, allemande, anglaise, africaine ou autre.
L’autre solution est l’importation d’un terme étranger. Cette solution est légitime dans bien des cas mais il faut sélectionné le terme non parcqu’il est facil de cédé à une langu puissante mais uniquement parcque ce terme a la coloration qui convientau mieu au concept que l’on veut décrire.
C’est encela que je m’interreoge, le terme de lerdership n’a t’il pas des concurents plus précis ou plus légitime en langue française (et oui ce site et francophone) en en langues africaines (et oui c’est un peu le thème ici) qui soi plus effiace et légitme.
En langue française, e terme hégémonie est largement ausi bo que leadership.
Hégémonie a de plus une éthymologie claire et très riche.
Mais, je serait heureux de connaitre un africanisme qui pourrait décrire le concept dont nous parlons.
« Fulele étnt congolais, il est issus d’un espace afro-francophone, il est donc bien légitime qu’il unitilise le françis, des langues africains mais l’anglais est bien étrange à sa culture. »
Ns africain avons tjs été ouvert aux autres. Ce qui n’est pas ton cas et tu le démontres.
Je peux utiliser le français , l’anglais , le portugais, l’italien,l’espagnol, parceque je parles ces langues plus ou moins courament.
Si je n’emplois pas de langue africaine ce n’est pas par incapacité c’est juste parceque pour l’instant je toucherais que peu de personnes.
Je souhaite donc ne pas restreindre mon message.
Et c’est curieux venant de toi car du coup tu ne comprendrais plus rien.
Fulele étnt congolais, il est issus d’un espace afro-francophone, il est donc bien légitime qu’il unitilise le françis, des langues africains mais l’anglais est bien étrange à sa cultue.
Pour se qui est de reveniu à des langues affricaines pour les africains francophones, anglophones ou autres, c’est aussi illusoir que pour les phrygiens hellenophonesdu IIème siècle de revenir massivement au phrygien, Que pour les gaulois du premier siècle de quitté le latin pour l’une des langues celtes. C’est aussi illusoir pour les amérindiens hispanophones du pérou de revenir aux langues amérindiennes.
Ce n’est pas une question d’imposition d’une volonté mis d’observation d’une réalité.
Ces langues ont fait l’objet d’une acclimatation en afrique e non ‘un simple acclimatement (comme le néherlandais en indinésie par exemple ou la langue d’origien euopéenne est resté extérieure à la culture locale).
J’aime la rigueur sémantique, les mots ont es sens précis. Si le vocabulaire français a une carence l’on peutsoi utilisé un néologisme en faisant appel à une racine grecque, latine, française, arabe, négr-africaine, allemande, anglaise, africaine ou autre.
L’autre solution est l’importation d’un terme étranger. Cette solution est légitime dans bien des cas mais il faut sélectionné le terme non parcqu’il est facil de cédé à une langu puissante mais uniquement parcque ce terme a la coloration qui convientau mieu au concept que l’on veut décrire.
C’est encela que je m’interreoge, le terme de lerdership n’a t’il pas des concurents plus précis ou plus légitime en langue française (et oui ce site et francophone) en en langues africaines (et oui c’est un peu le thème ici) qui soi plus effiace et légitme.
En langue française, e terme hégémonie est largement ausi bo que leadership.
Hégémonie a de plus une éthymologie claire et très riche.
Mais, je serait heureux de connaitre un africanisme qui pourrait décrire le concept dont nous parlons.
l’amour de la sémantique est l’une de mes tares
« Mais, je serait heureux de connaitre un africanisme qui pourrait décrire le concept dont nous parlons. »
africanisme???????
Toujours est-il en tant que kemit je te dirais que dans les langues qui me paraissent être les plus fédératrices en swahili c’est KIONGOZI (dans le sens de guide), en medu c’est sSm (dans le sens de guide) en translitération, je pense que ça se prononce SECHEM. voici la graphie: http://fr.wikipedia.org/w/extensions/wikihiero/img/hiero_T32.png
à votre service.