LE PREMIER HOMME MODERNE RECONSTITUTION FAITE PAR LES CHERCHEURS AMERICAINS
EL-HADJ OMAR Omar Saïdou Tall alias El Hadj Omar fut une des grandes figures du XIXè Sciècle africain. Fils de Sayidou Tall il naquit en 1797 à Aloar près de Podor dans le Fouta Toro (dans l’actuel Sénégal). Il appartenait par sa famille à ces Torobé Toucouleurs qui, peu d’années auparavant avaient renversé au nom de l’islam, la dynastie peulh païenne des Denianké…suite
GELASE 1er 496 Gélase 1er, le troisième et dernier pape africain de l’église catholique connu des historiens, ne régna que quatre années, mais c’est sous son pontificat que l’église catholique obtint son indépendance totale sur Rome pour devenir ce micro-état que l’on connaît aujourd’hui. Gélase Ier décrit comme grand parmi les saints, mourut en 496 après J-C… suite
CHEIKH AMADOU BAMBA Cheikh Ahmadou Bamba, fondateur du Moudourisme, sera l’un des derniers grands résistants africains du XXème siècle. Cet homme exceptionnel posera bien des problèmes aux autorités coloniales à double titre. D’abord parce que le Mouridisme, religion d’inspiration islamique, obtenait l’adhésion de millions de fidèles, notamment les masses paysannes sénégalaises qui contrôlaient la culture de l’arachide, énorme source de profit pour les colons …suite
SIMON KIMBANGU Simon Kimbangu, né le 12 septembre 1887 à Nkamba au Congo belge (actuelle République démocratique du Congo), mort le 12 Octobre 1951 à Elisabethville, (actuelle Lubumbashi), est un prédicateur et prophète africain chrétien qui a fondé le kimbanguisme le 6 avril 1921 à N’kamba.Cette religion est enseignée et pratiquée par l’Eglise kimbanguiste… suite
Sojourner TRUTH née esclave en 1797, dans l’état de New-York, Isabella (de son nom de baptême) fut émancipée en 1827. Elle changea alors de nom pour adopter celui de Sojourner TRUTH qui signifie voyageuse consacrée… suite
Harriet Tubman est la figure emblématique de la résistance combattante à l’esclavage des Africains Américains, Ashanti d’origine et archétype du matriarcat africain, protecteur, libérateur, animé d’un sens inné du sacrifice, elle s’échappa de la vie des champs et courut le risque de revenir 19 fois sur les terres esclavagistes pour libérer plus de 300 Africains Américains détenus dans les fers des plantations, sans en perdre un seul… suite…
CATHERINE FERGUSON Née esclave, Catherine Ferguson avait huit ans lorsque sa mère a été vendu. Elle n’a jamais revu sa mère. Cette séparation permanente va fortement la marquée. Ainsi elle va consacrée sa vie aux besoins et au devenir des enfants orphelins…suite
IDA WELLS Ida Bell Wells, courageuse combattante contre l’injustice et les maux de la société, a obtenu une réputation internationale pour son ardente dénonciation de la discrimination, de l’exploitation et de la brutalité.
ROSA PARK
JAMES CHANEY
Vers le sud, dans le Haut-Niger, Samory constitua au XIXè Sciècle un vaste Empire Djula couvrant la plus grande partie du pays Mandé. Il sera un de ces multiples soudanais qui ayant conscience du rôle joué par leurs ancêtres, opposeront une résistance farouche à la pénétration coloniale.Fils de Lanfia Touré et de Sokona Camara, Samory est né vers 1840 à Minianbalandougou dans le pays Mandé. Il pratiqua d’abord le métier de son père qui était Djula (commerçant), puis il accepta de servir comme soldat dans l’armée de Sory Birama un chef de la région qui s’était emparé de sa mère et l’avait retenue comme captive ; l’objectif était d’obtenir la liberté de sa mère. C’est ainsi qu’il apprit le métier des armes et compléta son instruction coranique car Sori Birama, était un marabout renommé. Libéré au bout de sept ans avec sa mère, Samori s’établit à Sanankoro, dans le Wasolon et fit la guerre à son propre compte.
Né le 20 mai 1743, Toussaint LOUVERTURE est le fils d’un roi du Bénin déporté sur l’île de Saint-Domingue. Il sera affranchi par son maître en 1776.
JeanDessalines
Nat Turner, était esclave aux États-Unis. Depuis sa naissance, Nat Turner se sent investi d’une mission divine, que ne cesse de lui rappeler sa mère, celle de libérer son peuple de l’esclavage. Étant …
Né en 1800, esclave noir de Virginie, Nat Turner fomenta une révolte d’esclaves qui fut une des plus importantes du XIXème siècle avec celles de Gabriel Presser en 1800 et de Denmark Vesey en 1822. Il est né dans une petite exploitation prospère de Virginie. Sa mère, venue d’Afrique, lui inculque une haine féroce de l’esclavage. Son père disparaît alors qu’il était encore enfant. Nat Turner apprit à lire avec les enfants de son maître et suivit avec passion une éducation religieuse qui imprégna par la suite tous ses actes. Travaillant comme charpentier dans les plantations, il fut vendu deux fois, en 1820 et autour de 1830, alors qu’il avait espéré être libéré. Il se maria avec une jeune esclave appartenant à une autre plantation que lui. En 1820, il se sauva et se cacha dans les marais pendant un mois, mais revint à la plantation, poussé, dit-il, par une inspiration divine. À cette époque, il commença à répandre les idées défendues par le sénateur Rufus King de New York et par les quakers, selon lesquelles l’esclavage va contre les lois de la nature, donc contre les lois de Dieu ; il décide alors de faire de l’émancipation le grand but de sa vie. En 1825, il se met à prêcher ; il est doué d’un magnétisme certain, et son mysticisme lui fait identifier la condition des esclaves avec le sort des Israélites de l’Ancien Testament. Il montre Dieu exerçant sa vengeance et faisant passer sa justice contre les oppresseurs. Devant l’attitude des Blancs, il pense que seules les armes peuvent sauver les Noirs, et, alléguant une instruction divine, il décide en mai 1828 de lancer son insurrection. Prédicateur jouissant d’une grande renommée dans la région, il s’entoure d’un tout petit groupe, afin de ne pas risquer l’échec qu’avait connu Denmark Vesey. Il voit dans une éclipse du soleil, le 12 février 1831, un signe de Dieu lui ordonnant de passer à l’action. Le 21 août, il part avec sept autres esclaves pour une marche sanglante au cours de laquelle il s’en prend à tous les Blancs rencontrés. En deux jours et deux nuits, 51 Blancs sont égorgés. Environ 75 Noirs se joignent alors à lui dans sa marche vers Jérusalem, la capitale du comté de Southampton. Mais les troupes du « général Nat », peu disciplinées et portées à s’enivrer, n’ont aucune chance même d’y parvenir. Les Blancs commencent à se défendre ; la milice d’État est convoquée et plus de 3 000 hommes pourchassent les rebelles qui sont dispersés, arrêtés ou tués. Nat Turner réussit à se cacher pendant six semaines, mais il est finalement fait prisonnier, jugé (il plaide non coupable, invoquant sa « mission ») et pendu. Une vague de peur se répand alors chez les Blancs de Virginie ; des esclaves sont tués sans raison ; la « bestialité » des Noirs est sans cesse évoquée ; les sociétés d’émancipation disparaissent dans le Sud, et l’État de Virginie édicte des lois implacables qui restreignent encore les libertés des Noirs (interdiction de prêcher, de se rassembler). Cette sévérité durera jusqu’à la guerre civile. Mais pendant longtemps, dans les États du Sud, le nom de Nat Turner sera vénéré ; et, dans les cantiques des Noirs, le nom de Jérusalem évoquera autant sa révolte que la cité de la Bible.
Samuel Sharpe l’esclave qui a mené la sanglante “Rébellion de Noël” de 1831, qui a aidé à accélérer l’émancipation de la Jamaïque.
Entre 1815 et 1820 : Naissance à Stony Gut, St. Thomas, Jamaïque. C’est pendant la jeunesse de Paul Bogle que l’esclavage est aboli en Jamaïque. Bogle fait partie des rares noirs à obtenir le droit de vote et le droit de posséder un peu de terre. Son voisin est George William Gordon, propriétaire terrien et politicien, soucieux du sort des pauvres.
SOLITUDE
Gabriel Prosser (Henrico County, Virginie, env. 1775 – 1800) était un esclave afro-américain qui en 1800 projeta une révolte de 1 100 esclaves
ALEXANDRE DUMAS PERE
ABRAHAM HANIBAL
POUCHKINE LYCEEN
DUMAS LE NOIR
ALESSANDRO DEI MEDICI
ALEXANDRE DUMAS
Alexandre Sabès, PETION (1770-1818), général et homme d’État haïtien.Né à Port-au-Prince le 2 avril 1770, d’un colon français ( Pascal Sabès ) et d’une mulâtresse ( la dame Ursule ), Alexandre Sabès, dit Pétion appartenait à la catégorie des affranchis. Il adopta le pseudonyme de Pétion, en hommage à Pétion de Villeneuve, qui fut membre de la Convention et de la Société des Amis des Noirs.Formé dans une école militaire à Paris, Alexandre Sabès, dit Pétion rejoignit les troupes du révolutionnaire haïtien Toussaint-Louverture, en 1791, et participa à l’expulsion des Britanniques et des Espagnols d’Haïti en 1798. En 1799, il rejoignit le général haïtien André Rigaud dans une guerre civile contre Toussaint-Louverture. Rigaud vaincu, Pétion s’enfuit en France. En 1802, il revint à Haïti avec une troupe militaire française menée par le général français Charles Leclerc, envoyée par Napoléon Bonaparte pour reconquérir l’île. Il rallia la cause des insurgés et après l’expulsion des Français, Pétion servit sous le commandement de Jean-Jacques Dessalines. En 1804, ce dernier proclamait l’indépendance d’Haïti et se faisait nommer empereur. Deux ans plus tard, Pétion se joignit au révolutionnaire haïtien Henri Christophe pour assassiner l’autoritaire Dessalines. Avec l’appui de Pétion une constitution républicaine fut établie. En 1807, Pétion établit une république dans la partie méridionale d’Haïti dont il fut nommé président. Il partagea les terres des plantations confisquées aux Français entre les paysans haïtiens.Pétion fut orfèvre dans sa jeunesse. A dix-huit ans, il était soldat dans les chasseurs de la milice, et fit en 1790 de vains efforts pour sauver le colonel Mauduit-Duplessis des mains des pompons rouges ou indépendants, qui l’assassinèrent lâchement. Au mois d’août 1791, les hommes de couleur s’étant soulevés pour l’obtention de leurs droits politiques, Pétion fut au nombre des confédérés ( appellation qu’avaient prise les révoltés commandés par le mulâtre Beauvais ).Pétion se fit remarquer par son courage et sa générosité. En dépit d’un traité de paix signé le 11 octobre 1791, de nouvelles luttes armées ne tardèrent pas à éclater dans la ville de Port-au-Prince; Pétion s’y signala comme officier d’artillerie, et à Bizoton, en décembre 1791, comme lieutenant du général André Rigaud.Cependant, une rivalité apparut entre les deux principaux chefs indigènes : le mulâtre André Rigaud et le noir Toussaint Louverture; le premier représentant la France, le second les Anglais et leurs auxiliaires, les émigrés. Pétion abandonna Toussaint Louverture, sous lequel il servait, et alla offrir spontanément son épée au général Rigaud (1799). Il participa au principaux succès de son nouveau chef, battit Dessalines au Grand-Goave, prit la ville de Jacmel, y soutint un siège mémorable, et combattit jusqu’à la défaite complète de l’armée de Rigaud.Il s’embarqua alors pour la France ( août 1800 ) et arriva à Paris le 20 janvier de l’année suivante, après avoir passé par Curaçao et la Guadeloupe, et avoir subi une captivité de deux mois sur les pontons de Portsmouth, où le jetèrent les Anglais, qui l’avaient fait prisonnier à l’entrée de la Manche.La guerre contre Saint-Domingue ayant été décidée, le gouvernement consulaire, qui comptait beaucoup sur l’appui des officiers mulâtres et noirs, appela ceux qui se trouvaient en France sous les drapeaux de l’armée expéditionnaire. Pétion y entra comme adjudant commandant. Après la soumission de Toussaint Louverture, en mai 1802, il fut chargé de pacifier les hauteurs des Verrettes et de l’Archaïe (septembre 1802), et de soumettre Jasmin, Sansouci, Petit-Noël et Macaya, indomptables Africains qui, dans les mornes du Nord, luttaient encore et persistaient à ne point vouloir déposer les armes.
BEETHOVEN
COCHINAT
ANGELO SOLIMAN
NOBLE
GUSTAVUS VASSA OLAUDAH EQUIANA WORLD TRAVELER (1745 ?-1797) L’autobiographie d’Olaudah Equiano l’africain, qui était un ancien esclave ayant rachete sa liberte, fut un best seller traduit en plusieurs langue au 18è siècle. Olaudah Equiano fut kidnappé dans un village africain à l’âge de 11 ans, puis vendu à un planteur de Virginie après avoir été amené aux Amériques. Il fut racheté plus tard par un officier de la marine britannique qui l’offrit comme cadeau à ses cousins. Après 10 années de travaux en tant qu’esclave au cours desquelles il travailla sur un vaisseau négrier, et pu mettre de côté assez d’argent, Equiano racheta sa liberté.
A l’âge de 44 ans, il écrivit et publia son autobiographie sous le titre originel de « The Interesting Narrative of the Life of Olaudah Equiano, Or Gustavus Vassa, The African. Written by Himself ». Deux cent ans plus tard ce livre est reconnu comme l’un des premiers livres écrit en anglais par un ex-esclave, et marque le début d’un nouveau genre littéraire : les mémoires d’esclaves.
Equiano se rappelle son enfance à Essaka (un village situé en pays Ibo de l’actuel Nigeria) où il fut initié aux traditions et décrit ainsi la vie traditionnelle africaine avant l’avènement de l’esclavage. A travers sa vie de marin, Equiano décrit également ses voyages et les pays qu’il a découverts (Amériques, Turquie…etc) de même que sa participation à diverses batailles navales. Il aborde aussi son rôle dans le mouvement abolitionniste britannique dont il fut l’un des leaders.
Il contribua à faire connaître en 1783 le meurtre de 130 africains jetés à la mer par des négriers qui avaient ensuite essayé d’obtenir par les assurances le remboursement des esclaves « perdus » en mer. Il joua également un rôle important dans la première expédition d’esclaves affranchis vers la Sierra-Léone en 1787.
L’autobiographie de Gustavo Vassa devint un best-seller qui talonnait en popularité le célèbre « Robin Crusoe » de Daniel Defoe. Equianoh en publia neuf différentes éditions avant sa mort en 1797 dont une édition américaine (1791) et des éditions allemandes et hollandaises (respectivement 1790 et 1791). En 1837, 9 autres éditions avaient été publiées.
Equiano s’était non seulement intégré à la société esclavagiste, mais était en plus devenu un auteur lu et reconnu de la fin du 18è siècle.
Paru au Editions l’Harmattan en décembre 2002, « Olaudah Equiano ou Gustavus Vassa l’africain, le passionnant récit de ma vie » traduit et édité par Régine Mfoumou Arthur.
AUGUSTUS TOLTON
DU BOIS
DOS Palmares (1655 – 1695) de Zumbi Tué le 20 novembre 1695, dans un attirer dans un guet-apens par les soldats portugais tout en conduisant une campagne de guérillero pour maintenir l’indépendance du Quilombo connu sous le nom de Palmares situé dans le jour moderne Brésil. Il a été à titre posthume décapité et son chef a empalé et a placé sur l’affichage public.
Au Brésil, terre d’Africains déportés aujourd’hui appelés Afro-brésiliens, le 20 novembre est la journée de la libération, celle de Zumbi dos Palmarès, intrépide roi-résistant, guerrier exceptionnel qui s’opposa à la violence négrière portugaise au 17ème siècle. En consacrant un hommage à cette figure de proue des luttes de libération précoloniales, le Brésil assume tout à fait le devoir de mémoire à la charge des autorités publiques de ce pays construit en grande partie sur le sang des Africains esclavisés. Sous l’impulsion du surprenant président Lula, ce grand pays d’Amérique latine s’honore déjà d’avoir rendu obligatoire dans les établissements scolaires publics l’enseignement de l’histoire africaine et des Afro-brésiliens.
Mais qui est donc Zumbi dos Palmarès dont une université de l’Etat de Sao Paulo porte le nom et qui est l’objet d’une réappropriation passionnée de la part du mouvement brésilien de la négritude ? Zumbi a été, au plus fort des affrontements entre les négriers portugais et hollandais et l’Etat de Palmarès constitué d’esclaves marrons qui avaient fui leur condition servile, le roi-résistant et intrépide guerrier qui a mené la défense du Quilombo.
Palmarès, ce Quilombo emblématique des résistances d’esclaves africains, a compté jusqu’à 30 000 habitants [comprenant des natifs amérindiens et métisses d’Africains] et donné une réplique militaire et stratégique aux colons pendant plus d’un demi siècle. Doté d’une rigoureuse organisation fondée sur les traditions africaines, un roi et un conseil de représentant du
peuple, cet Etat fondé au début du 17ème siècle subissait les at
taques répétées des colons européens.
Zumbi naquit en 1655, libre dans cet Etat de marrons. A 6 ans il fut capturé par des soldats portugais et recueilli par un prêtre, Antonio Melo qui lui donna une instruction au Latin, au Portugais ainsi qu’au service du culte catholique.
Pourtant à l’âge de 15 ans, en 1670, il réussit à s’enfuir et parvint à regagner Palmarès. Dès 1675, à 20 ans il s’illustre comme brillantissime combattant et grand maître de la capoeira, cet art martial pratiqué par les esclavisés africains dont il est la figure légendaire. Le sergent-major portugais Manuel Lopes avait lancé une violente attaque contre Palmarès et avait fait reculer les marrons. Cinq mois après ce repli contraint Zumbi avait contre-attaqué de façon fulgurante, obligeant les Portugais à battre en retraite. La réputation de stratège et guerrier intrépide de Zumbi était faite mais des événements ultérieurs devaient la conforter.
En 1678 Pedro Almeida le gouverneur portugais de Pernambuco tente de soumettre pacifiquement Palmarès plutôt que de détruire cet Etat d’irréductibles marrons. Le chef Ganga Zumba est enclin à accepter l’offre de paix et de liberté des habitants de Palmarès sous le giron colonial portugais. Zumbi s’oppose à cet accord, refusant que certains Africains soient libres [ceux de Palmarès] pendant que d’autres resteraient esclavisés. A raison il se méfie des Portugais. En 1680 il devient donc le chef de Palmarès et commande le mouvement de résistance contre les Portugais repassés à l’offensive après l’échec des négociations.
En 1694, l’artillerie lourde portugaise lance l’assaut final contre Palmarès. Domingos Jorge Velho et Vieira de Mello fondent sur Cerca do Macaco, la place principale de Palmarès. Zumbi est blessé mais s’échappe de l’emprise des assaillants. Malheureusement, trahi par un de ses fidèles compagnons il est capturé par les Portugais, et décapité sauvagement. Sa tête est ramenée en guise de trophée par les soldats de la colonie portugaise qui tenaient à casser le mythe d’invincibilité du résistant émérite et héroïque.
Le 20 novembre le Brésil rappelle aux siens et au monde l’histoire négrière, ses crimes, son antinomie avec les idéaux de liberté dont se réclament les anciennes nations traitantes. C’est l’occasion d’un hommage à tous ceux qui se sont dressés contre cette entreprise de déshumanisation lucrative, à l’origine de l’enrichissement primitif des sociétés capitalistes et de leurs dettes imprescriptibles à l’humanité à ce titre.
Il est impérieux que les Africains, Caribéens, les Diasporas africaines se saisissent d’un symbole aussi fort que celui de Zumbi dos palmarès pour assurer le travail de mémoire indispensable sur cette période de l’histoire. Se projetant vers des horizons mentaux, sociétaux revitalisés, il est temps que de telles figures rentrent dans la construction des nouveaux imaginaires de ceux qui ne veulent plus n’être que des Damnés de la Terre.
Zumbi Louverture
Bob Ferebee (? – 1823) Exécuté : Juillet 1823 par l’état de la Virginie pour la principale insurrection slave dans le comté de la Norfolk.
Marcheur de David (1785 – 1830) Mort dans des circonstances mystérieuses à Boston peu de temps après la publication et la circulation à lui appel le « du marcheur largement lu ». Considéré d’être empoisonné.
Jean Dessalines (? – 1806) Assassiné : 17 octobre 1806 tout en fonctionnant comme chef révolutionnaire du Haïti.
Brun de John (1800 – 1859) Exécuté : Octobre 1859 pour la principale incursion sur le bac de Harper en Virginie.
John Copeland (? – 1859) Exécuté : 16 décembre 1859 pour participer à l’incursion sur le bac de Harper en Virginie.
Vert de boucliers (? – 1859) Exécuté : 16 décembre 1859 pour participer à l’incursion sur le bac de Harper en Virginie.
Turner national (1800 – 1831) Exécuté : 11 novembre 1831 par l’état de la Virginie pour la principale insurrection slave dans le comté de Southampton.
SAM Sharpe (1801 – 1832) Exécuté : 24 octobre 1865 dans le compartiment de Montego, Jamaïque par les colonialistes britanniques.
Paul Bogle (1815 – 1865) Exécuté : 24 octobre 1865 avec 438 défenseurs dans le compartiment de Morant, Jamaïque par les colonialistes britanniques.
Antonio Maceo CRP (1848 – 1896) Tué dans la bataille tout en combattant pour libérer l’île du Cuba des colonialistes espagnols.
Samoury Toure (? – 1900) Mort le 2 juin 1900 tandis qu’emprisonné en France.
Marcus Garvey [UNIA, ACL] (1887 – 1940) Mort dans l’exil après avoir été incorrectement condamné de la fraude de courrier par le gouvernement des États-Unis et être expulsé. Garvey a été plus tard nié l’entrée dans la plupart des pays et leurs colonies où il a apprécié suivre fort afin d’essayer de l’isoler de son appareil d’organisation.
Josina Machel [FRELIMO] (1945 -) Tué tout en combattant les colonialistes portugais.
M’Balia Camara (? -1955) Assassiné par des agents du gouvernement français.
Dedan Kimathi (? – 1957) Le Chef de Mau-Mau assassiné par des agents du gouvernement britannique
Felix Moumie [UPC] (? – 1960) Poisoined : 3 novembre 1960 par les agents impérialistes français au Cameroun.
Patrice Lumumba [premier ministre - Congo] (1925 – 1961) Assassiné : Le 17 janvier 1961 par les États-Unis CIA a soutenu des forces de counter-revolutionary tandis que dans la garde du gouvernement illégitime de Katanga.
Medger Evers[NAACP] (1928 – 1963) Assassiné : 12 juin 1963 au Mississippi par le membre condamné de Byron De La Beck de meurtre du kkk
Malcolm X [MMI, OAAU] (1925 – 1965) Assassiné : 21 février 1965 à New York City par des personnes filiales avec la nation de l’Islam. Les assassins ont considéré d’être des envahisseurs de FBI.
T. Hainyeko [PLAN] (? – 1967) Tué le 18 mai 1967 tout en combattant le gouvernement sud-africain.
Martin Luther King [SCLC] (1929 – 1968) Assassiné : 4 avril 1968 à Memphis. Rayon de comte de James condamné mais pensé faire partie d’une plus grande conspiration de gouvernement.
Arthur Glenn Carter [BPP] (1940 – 1968) Assassiné : Mars 1968 par des agents de gouvernement à Los Angeles.
Policier policier » Hutton [BPP] (1950 – 1968) « de L’il Assassiné : 6 avril 1968 par la police d’Oakland.
Steve Bartholemew [BPP] (1947 – 1968) Assassiné : 5 août 1968 par la police de Los Angeles.
Robert Lawrence [BPP] (1946 -1968) Assassiné : 5 août 1968 par la police de Los Angeles.
Tommy Lewis [BPP] (1950 – 1968) Assassiné : 5 août 1968 par la police de Los Angeles.
Welton « Butch » Armstead [BPP] (1951 – 1968) Assassiné : 5 octobre 1968 par la police de Seattle.
Sidney Miller [BPP] (1947 – 1968) Assassiné : 2 décembre 1968 – tiré dans la tête à la gamme de blanc de point par un homme d’affaires raciste à Seattle qui n’a été jamais facturé le crime.
Frank « capitaine Franco » Diggs [BPP] (1928 – 1968) Assassiné : 19 décembre 1968 par les assaillants inconnus à Los Angeles.
Alprentice Carter « Bunchy » [BPP] (1942 – 1969) Tué : 17 janvier 1969 dans l’action révolutionnaire.
John Huggins [BPP] (1946 – 1969) Tué : 17 janvier 1969 dans l’action révolutionnaire.
Eduardo Mondlane [FRELIMO] (? – 1969) Assassiné : Février 1969 avec une bombe de colis en Tanzanie par les agents portugais.
Alex Rackley [BPP] (1944 -1969) Assassiné : 1969 à New Haven dans une atmosphère de confusion machinée par la campagne du COINTELPRO du FBI. Le corps a été découvert le 21 mai 1969. Les circonstances entourant sa mort demeure une polémique jusqu’ici.
Sylvester Bell [BPP] (? – 1969) Assassiné : Mai 1969 à San Diego par des membres de l’organisation des USA résultant apparemment des tensions engendrées par la campagne du COINTELPRO du FBI.
Sauvage de John [BPP] (1948 – 1969) Assassiné : 23 mai 1969 à San Diego par des membres de l’organisation des USA résultant apparemment des tensions engendrées par la campagne du COINTELPRO du FBI.
Larry Roberson [BPP] (1949 – 1969) Assassiné : Mort le 4 septembre 1969 des blessures de coup de fusil soutenues par la police de Chicago le 16 juillet 1969.
Nathaniel Clark [BPP] (1950 – 1969) Assassiné : 12 septembre 1969 comme il a dormi par les assaillants inconnus à Los Angeles.
Pape de Walter « Toure »[BPP] (1949-1969) Assassiné : 18 octobre 1969 par le peloton de métro de Los Angeles.
Carlos Marighela (? – 1969) Assassiné : Le 4 novembre 1969 attirent dans un guet-apens dedans par la police brésilienne.
Hivers de Spurgeon « Jake » [BPP] (1950 – 1969) Assassiné : 13 novembre 1969 par la police de Chicago.
Fred Hampton [BPP] (1948 – 1969) Assassiné : 4 décembre 1969 tandis que sommeil dans une incursion avant l’aube Chicago par l’unité spéciale de poursuite agissant au nom de l’Office de mandataire d’état. Considéré d’avoir été dopé par l’informateur William O’neil de FBI avant l’incursion.
Marquer Clark [BPP] (1947 – 1969) Assassiné : 4 décembre 1969 tandis que sommeil dans une incursion avant l’aube Chicago par l’unité spéciale de poursuite agissant au nom de l’Office de mandataire d’état.
Noir de Ron [BPP] (? – 1969) Assassiné : 5 avril 1969 – à Detroit.
Fka d’Allah (Clarence « Puddin » Smith) [NGE] (1928-1969) Assassiné : 12 juin 1969 – dans l’ascenseur des tours de M.L.K. sur la rue 112. Dans Harlem est
Eugene Anderson [BPP] (? – 1969) Assassiné : Octobre 1969 – à Baltimore.
Jones sterling [BPP] (1952 – 1969) Assassiné : 25 décembre 1969 – tiré dans le visage à la gamme de blanc de point par un assaillant inconnu Chicago.
Ralph Featherstone [SNCC] (? – 1970) Assassiné : 9 mars 1970 par une bombe de voiture dans le Maryland en dehors de de la maison de cour où le brun de coup sec et dur de H. était de se tenir d’essai.
Che Payne [SNCC] (? – 1970) Assassiné : 9 mars 1970 par une bombe de voiture dans le Maryland en dehors de de la maison de cour où où le brun de coup sec et dur de H. était de se tenir d’essai.
Salle de Larry [BPP] (? – 1970) Assassiné : 15 mai 1970 – à Seattle.
Babatunde X Omowale [BPP] (1944 – 1970) Assassiné : Par la police de Chicago qui a mutilé son corps au delà d’identification par le placement il à travers le chemin de fer dépiste. Des fragments de ses restes ont été trouvés le 27 juillet 1970.
Karl Hampton [pp] (? – 1970) Assassiné : 28 juillet 1970 par la police de Houston.
Jonathan Jackson [BPP] (1953 – 1970) Assassiné : Le 7 août 1970 par la prison de San Quentin garde comme il a mené une coupure essayée de prison au tribunal du comté de Marin. simple-remis, avec une sacoche pleine des pistolets, un assaut fusillent et un fusil de chasse caché sous son imperméable. Aux journalistes se réunissant rapidement en dehors du le tribunal, Jonathan a crié, « vous peut prendre nos photos. Nous sommes révolutionnaires ! «
Fred Bennett [BPP, PA] (? – 1971) Assassiné : La victime du fraticide orchestrée par COINTELPRO suivant l’interne « s’est dédoublée » de la partie. Des fragments on a rapporté que de ce qui est ses restes ont été trouvés le février 1971.
Robert Webb [BPP] (1949 – 1971) Assassiné : 8 mars 1971 – la victime du FBI a orchestré le fraticide suivant l’interne « s’est dédoublée » de la partie.
Samuel Napier [BPP] (? – 1971) Assassiné : 17 avril 1971 par les assaillants inconnus dans les reines.
George Jackson [BPP, PA] (1941 – 1971) Assassiné : 21 août 1971 par des gardes de prison de San Quentin après que nombreuses tentatives échouées sa vie, l’état finalement réussi à assassiner George Jackson, puis maréchal de champ de la partie de panthère noire, dans ce qui a été décrit par des fonctionnaires de prison en tant que échapper à la tentative dans laquelle Jackson a passé prétendument un pistolet dans San Quentin dans une perruque. Cet exploit était impossible prouvé, et évidence plus tard a suggéré une installation conçue par des fonctionnaires de prison pour éliminer Jackson une fois et pour tous.
Sandra Pratt « rouge » [BPP] (? – 1971) Assassiné : Novembre 1971 à Los Angeles tandis que visiblement en son huitième mois de grossesse et bourré dans un décharge d’ordures.
Kwame Nkrumah [CPP, AAPRP] (? – 1972) Assassiné : 27 avril 1972 empoisonné par la CIA
Jimmy Carr [BPP, PA] (? – 1972) Assassiné : 6 avril 1972 – à San Francisco.
Joseph « Joe-Dell » Waddell [BPP] (1951 – 1972) Assassiné : 13 juin 1972 par les gardes centrales de prison à Raleigh.
Cindy Smallwood [BPP] (1955 – 1973) En raison mort des complications s’est associé à l’accident de voiture tout en conduisant des affaires de partie à Oakland.
Zayd Malik Shakur [BPP, BLA] (? – 1973) Assassiné : 2 mai 1973 par des soldats de la cavalerie de New-jersey State sur le péage de New Jersey.
Twymon Myers [BPP, BLA] (1952 -1973) Assassiné : Novembre 1973 par des agents du FBI à Manhattan.
Rory Hithe [BPP, BLA] (? – 1973) Assassiné : 13 novembre 1973 lors d’une réunion de la communauté à San Francisco. Son assaillant a été libéré seulement des jours suivant l’assassinat.
Amilcar Cabral [PAIGC] (? – 1973) Assassiné : Janvier 1973 dans la Guinée par les agents portugais.
Herbert Chitepo [ANC] (? – 1975) Assassiné : 17 mars 1975 en Zambie.
Steve Biko bantou [BCM] (1946 – 1977) Assassiné : 12 septembre 1977 tandis que dans la garde de la pro-aparthied police sud-africaine.
Mangaliso Sobukwe [PAC] (1924 – 1977) Mort du cancer peu de temps après le dégagement de la prison à l’île de Robben dans la pro-ségrégation Afrique du Sud. Considéré d’être exposé aux carcinogènes tandis qu’en prison.
Fred Ahmed Evans (1928 – 1978) Mort du cancer tandis qu’emprisonné dans la prison d’état de l’Ohio. Considéré d’être exposé aux carcinogènes tandis qu’en prison.
Agostinho Neto [président - Angola] (1922 – 1979) 10 septembre 1979 mort tout en servant de premier président de l’Angola. Considéré d’être empoisonné par les agents portugais.
Walter Rodney [WPA] (1942 – 1980) Assassiné : Le 13 juin 1980 par une bombe de voiture plantée par des agents de la CIA a soutenu le gouvernement de la Guyane.
Robert Nesta Marley (1945-1981) Mort dans des circonstances mystérieuses dans un hôpital de la Floride.
Mtayari Shabaka Sundiata (? – 1981) Tué le 20 octobre 1981 tout en essayant d’exproprier des fonds d’un camion blindé pour financer des activités révolutionnaires souterraines.
Évêque de Maurice [premier ministre - Grenada] (1944 – 1983) Exécuté : Le 19 octobre 1983 dans un coup militaire de counter-revolutionary a mené par des forces fidèles à Bernard Coard.
Jacqueline Creft [membre de Cabinet - Grenada] (1946 – 1983) Exécuté : Le 19 octobre 1983 dans un coup militaire de counter-revolutionary a mené par des forces fidèles à Bernard Coard.
Fitzroy Bain [membre de Cabinet - Grenada] (1946 – 1983) Exécuté : Le 19 octobre 1983 dans un coup militaire de counter-revolutionary a mené par des forces fidèles à Bernard Coard.
Norris Bain [membre de Cabinet - Grenada] (1946 – 1983) Exécuté : Le 19 octobre 1983 dans un coup militaire de counter-revolutionary a mené par des forces fidèles à Bernard Coard.
Vincent Noel [membre de Cabinet - Grenada] (1946 – 1983) Exécuté : Le 19 octobre 1983 dans un coup militaire de counter-revolutionary a mené par des forces fidèles à Bernard Coard.
Unisson Whiteman [membre de Cabinet - Grenada] (1946 -1983) Exécuté : Le 19 octobre 1983 dans un coup militaire de counter-revolutionary a mené par des forces fidèles à Bernard Coard.
Kuwasi Balagoon [BPP, BLA] (1946 – 1986) Mort tandis qu’en raison emprisonné des complications s’associait au virus de SIDA. Considéré d’être exposé au virus tout en servant la limite de prison.
Samora Machel [président - Mozambique] (1933 – 1986) Tué : 19 octobre 1986 dans un accident d’avion mystérieux Afrique du Sud finie.
Fka de Peter Tosh (Winston H. McIntosh)
[Casserole-Africanist - artiste de reggae] (1944-1987) Assassiné : 11 septembre 1987 par les agents jamaïquains de gouvernement.
Thomas Sankara [président - Burkino Faso] (1950 – 1987) Assassiné : Le 15 octobre 1987 dans un coup militaire de counter-revolutionary a mené par des troupes fidèles à capitaine Blaise Compaore.
Newton de Huey P. [BPP] (1942 -1989) Assassiné : 1989 par un trafiquant de drogue de niveau censément bas.
Chris Hani [ANC, SACP] (? – 1993) Assassiné : 10 avril 1993 par des forces de pro-ségrégation en Afrique du Sud.
Ken Saro Wiwa, John Kpuinen, Barinem Kiobel, Baribor Bera, Daniel Gbokoo, Felix Nuate, samedi Dobee, Paul Levura et Nordu Eawo
[patriote d'Ogoni] ont assassiné : 10 novembre 1995, par le gouvernement nigérien corrompu fonctionnant dans l’intérêt des compagnies pétrolières multinationales
Fka de Kwame Ture
(Stokley Carmichael) [SNCC, BPP, AAPRP] (1941-1998) Assassiné : 15 novembre 1998 par les serpents unis de l’amerikkka, empoisonnés avec la « un cancer induit parC.I.A ».
Dimitri Tsafendas
est mort : Octobre1999 tandis que dans la garde du gouvernement sud-africain de pro-ségrégation pour l’élimination 1966 du premier ministre raciste Hendrik Verwoerd
Rosie Douglas
de la république Dominica a assassiné l’octobre 2000 avec le poison des agents britanniques
Khallid Abdul Muhammad
février 2001 meurt dans des circonstances mystérieuses dans un hôpital du nord de la Géorgie
Marcus Garvey
est l’un de deux individus inclus sur cette liste dont la vie, dans la mesure où peut être déterminé, n’a pas fini pendant qu’un résultat direct de participation dans la lutte de libération, cependant, il est considéré un martyre par cet auteur parce que l’impact qu’il a fait internationalement a eu le résultat direct de son emprisonnement, de déportation, et de l’incapacité d’apporter son mouvement à sa conclusion logique due de son isolement obligatoire qui a contribué considérablement à sa cession.
Elijah Muhammad
ce frère plus ainsi que tous les autres a inculqué un sens de fierté, dignité et respect parmi les frères et les soeurs perdus et trouvés dans l’amerikkka, et qui la société avait totalement abandonné dessus, ce qui était ce professeur principal enseigné faire pour l’individu, construisent vos propres et son programme a donné l’épine dorsale à beaucoup de frères et soeurs
Brun de John
est la seule personne non-Africaine incluse en cette compilation. L’auteur se rend compte qu’une certaine polémique existe entourant les motivations derrière les actions du brun, mais estime que son but de la libération pour les esclaves était sincère et que ses actions ont été basées sur des principes justes. John brunissent a vraiment incarné l’esprit des africains affectueux de liberté autour du monde.
les infos sur mfumu kimbangu ne pas comple ,pour votre infos kimbangu n,a jamais preche christianisme ,si est ainsi pourquoi les blancs qui ete les chretiens l,on tuer il faisait les culte aux ancetres notre religion des africains si vous voulais a savoir plus appeler moi sur 00244937366630 je suis a luanda
Merci pour votre commentaire, mais où avez vous lu que nous avons dit qu’il a prêché le christianisme?
Cependant si vous êtes un spécialiste de Limbangu c’est avec plaisir que ns pourrons échanger.A très bientôt.