PROSTITUTION AFRICAINE

Un interview poignant de la spécialiste de la prostitution notament la filiaire africaine de la prostitution Amélie James Koh Bela
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Les Femmes Noires face à l’exploitation économique et l’oppression raciale, par Rosa Amelia Plummelle-Uribe 
07/12/2006

La femme et les enjeux de
la Renaissance africaine.
Le 23 juin 2006 à Paris, Rosa Amelia Plummelle-Uribe, l’auteure de l’indispensable «
La Férocité blanche» [Albin Michel, 2001], conférencière très appréciée par ailleurs livrait une communication importante dans le cadre de la conférence intitulée «
La Femme et les Enjeux de
la Renaissance», organisée par une initiative de Femmes africaines et de

la Diaspora. Afrikara publie cette réflexion fidèle à la personnalité de cette afrodescendante, rigoureuse, au plus près des faits, le ton militant n’écornant en rien la qualité discursive de ses énoncés forts. 

L’esclavage a historiquement joué un rôle important dans l’oppression des femmes, ayant pour les femmes Noires l’inconvénient supplémentaire de la racialisation. 

Islam et esclavage  

La dégradation de la situation et de l’image des femmes Noires, a commencé en Afrique noire lorsque ce continent est devenu un réservoir d’esclaves. On se rappellera que dès le septième siècle, les esclavagistes arabo-musulmans ayant décidé d’islamiser la planète, intensifient le commerce d’êtres humains pour se procurer des esclaves destinés à servir dans les pays arabo-musulmans. Dans un premier temps, beaucoup de femmes et d’hommes réduits en esclavage dans ces pays étaient des Blancs : Turcs, Caucasiens, Slaves et d’autres régions d’Europe. Or, très rapidement les esclaves Noirs se trouvèrent au plus bas de l’échelle sociale par rapport aux esclaves Blancs.1.   

En plus de la motivation économique de l’esclavage, il y avait une motivation sexuelle dans l’achat des femmes. La pratique associant domination sociale et domination sexuelle a toujours été une oppression supplémentaire pour les victimes. Et l’Islam autorisant par la loi la polygamie et le concubinage, a favorisé le droit d’un homme à disposer d’autant de femmes qu’il pourrait entretenir. Ainsi, le nombre d’épouses libres, de concubines et d’esclaves que chacun pouvait se procurer, était déterminé par ses capacités financières. 

Cependant, au fur et à mesure que la source d’esclaves blancs déportés d’Europe vers les pays de l’Islam s’est trouvé diminuée, la traite négrière arabo-musulmane s’est aggravée et l’asservissement des Noirs aussi.2. Désormais, et jusqu’au 20ème siècle, de l’Egypte à
la Turquie et à
la Péninsule d’Arabie, les esclaves blanches étaient les plus chères sur le marché et seuls les plus riches pouvaient se permettre d’acheter les Circassiennes. Les moins fortunés devaient se contenter des Abyssines au teint foncé, tandis que les couches modestes de la société musulmane ne pouvaient acquérir que des esclaves carrément noires. 

Cette dépréciation de la valeur marchande des femmes Noires, eut des conséquences durables dans leur situation quotidienne. Non seulement elles étaient soumises aux exigences et caprices de leurs maîtres, mais, de plus, parce que Noires, elles étaient vouées aux travaux les plus rudes dans la campagne ; — tâches qui étaient épargnées aux femmes blanches réduites en esclavage dans les pays arabo-musulmans. Cette distinction renforçait, évidemment, l’infériorisation de la femme Noire qui devenait ainsi objet de mépris de la part même d’autres femmes réduites en esclavage elles aussi. 

  

Christianisme et esclavage  

Au 15ème siècle, lorsque des Chrétiens d’Europe, ont abordé l’Afrique noire et puis l’Amérique, la traite d’esclaves intra européenne, activité millénaire parmi les Européens, n’avait pas encore disparu de ce continent.3. Il importe de savoir que le règne de l’islam en Espagne, de 711 à 1492, ayant dynamisé la traite d’esclaves a fait du continent européen un important fournisseur d’esclaves, femmes et hommes, expédiés vers les pays de l’islam. Ainsi, pendant plusieurs siècles des Chrétiens européens vendent d’autres Européens à des commerçants Juifs spécialisés dans la fabrication d’eunuques lesquels étaient une marchandise très prisée et fort sollicitée dans les pays de l’empire musulman.4. 

L’esclavage et le commerce d’esclaves étant restés partie intégrante de l’économie et de la culture dans l’Europe médiévale, des rapports de ce genre seront imposés partout où les rapports de force seront favorables aux Occidentaux. Ainsi, l’institutionnalisation de l’esclavage en Amérique et la traite négrière transatlantique. En Afrique, outre la supériorité militaire des armes, les Européens ont bénéficié des structures développées par la traite négrière de signe arabo-musulman qui, comme nous venons de le voir, était vieille de sept ou huit siècles. 

Dans le système concentrationnaire inauguré en Amérique par la suprématie blanche et chrétienne, les femmes, les hommes et les enfants réduits en esclavage partageaient au moins une caractéristique très visible : la couleur noire de leur peau. Dépouillés de leur appartenance à l’espèce humaine et rendus repoussants dans leur situation misérable, rapidement le Noir devint synonyme de sa situation. Dans le même temps, le Blanc symbolise ce qui est le plus désirable, la beauté, le pouvoir et tous les avantages collatéraux.   

Les femmes Noires, exploitées dans leur condition de bête de travail, elles le sont aussi en qualité d’objet sexuel à la merci du bon vouloir des maîtres. Les réformes qui dans le christianisme avaient imposé la monogamie aux laïques et le célibat aux clercs au milieu du Moyen Âge, n’avaient pas mis fin à leur habitude d’utiliser les servantes à la fois pour le service domestique et pour le service sexuel. 

  

Le triomphe idéologique de la suprématie blanche  

Dans un tel état d’asservissement, quelle que soit la volonté et l’esprit de résistance chez les Noirs, il était inévitable et tout à fait normal que les préjugés anti-Noirs l’emportent et deviennent partagés par tous y compris les Noirs. Cette assimilation des Noirs à l’idéologie de la suprématie blanche, est le crime le plus accompli dans la destruction de la spiritualité des Noirs car il transforme les victimes en garants de leur asservissement idéologique au-delà des structures économiques de la domination coloniale.   

Dans ce processus de déshumanisation, l’exploitation et l’utilisation sexuelle des femmes Noires ont favorisé toutes les dérives et les perversions que la pathologie peut développer dans certaines situations extrêmes. Il faudrait garder présent à l’esprit ce contexte sordide lorsqu’il s’agit de critiquer une prétendue complaisance des femmes Noires à qui on a souvent reproché d’avoir rêvé de devenir des concubines des Blancs.   

A ceux qui ont tendance à condamner la victime plutôt que le bourreau, il faut rappeler que le Blanc, représentant le pouvoir de vie et de mort, était le seul qui pouvait adoucir ou alourdir le malheur des victimes. D’autant plus que parmi les femmes Noires, marchandise négociable, force de travail corvéable à merci et machine de reproduction d’esclaves, celles qui osaient résister aux exigences sexuelles d’un Blanc, avaient droit à des châtiments exemplaires pouvant aller jusqu’à cent cinquante coups de fouet5. 

De ces violations est née une catégorie de sous-humanité que la suprématie blanche, pleine de mépris, a appelé mulâtre (mule ou mulet), pour bien signifier que le Noir est au Blanc ce que l’âne est au cheval. Le mulâtre était complètement inférieur au Blanc mais légèrement supérieur au Noir, et c’était le point de départ pour une amélioration raciale. Dans cette hiérarchisation de l’acheminement vers l’être humain symbolisé par le Blanc, il y avait donc la mulâtresse qui, engrossé par un Blanc, donnait le «terceron» et ainsi de suite, le quarteron et le «quinteron ».             

Lutte de classes et oppression raciale  

  

Après les abolitions de l’esclavage dans l’univers concentrationnaire d’Amérique, le déni de justice ainsi que le déficit d’humanité ont continué à frapper les Noirs. Les esclavagistes devenus patrons, conservèrent les privilèges hérités de l’esclavage. Les Noirs profondément traumatisés et toujours discriminés, furent transformés en salariés au service des anciens bourreaux. Et pour renforcer leur exclusion, la nécessité et la légitimité de la lutte contre l’oppression raciale, furent complètement ignorées par les « alliés objectifs » des victimes.   

L’absence de cette revendication dans le discours de Marx et d’Engels est à l’origine de la réticence, voire de l’hostilité des marxistes face à la spécificité du combat contre l’oppression raciale à l’intérieur du combat anti-impérialiste et contre l’exploitation de l’homme par l’homme. Même les mouvements féministes, pourtant très dynamiques à certains moments de l’histoire, n’ont jamais inscrit dans leur agenda une condamnation expresse contre la triple oppression qui, dans le marché du travail et partout, frappe les femmes Noires. 

Cette cécité explique au moins en partie l’échec des mouvements de gauche, incapables de gagner l’adhésion massive de ceux qui en plus d’être économiquement exploités, sont aussi discriminés du fait de leur appartenance raciale. Aussi, cette cécité a provoqué chez beaucoup de Noirs, une réaction de méfiance vis-à-vis de ces révolutionnaires qui, au nom de la lutte de classes, faisaient l’économie des crimes de génocide ayant accompagné les guerres de conquête, la barbarie coloniale, la traite des Noirs et leur réduction en esclavage.   

Mais, à l’autre extrême, il existe une tendance qui veut réduire le problème à sa dimension exclusivement raciale. Or, la solidarité raciale comme la solidarité de classes, a montré ses limites, surtout lorsque la pensée demeure prisonnière d’une interprétation étroite ou parcellaire. Il y a dans notre histoire, comme dans toutes les histoires, des vérités tellement douloureuses qu’elles sont insoutenables. Et pourtant, nous nous devons de les assumer si nous ne voulons pas que nos adversaires continuent à les instrumentaliser à nos dépens.  

  

Une exigence éthique   

  

Nous ne pouvons pas faire semblant d’ignorer que les Africains n’ont pas attendu l’arrivée des Européens pour faire le commerce d’êtres humains ; ni pour pratiquer certaines formes de servitude que nous appelons esclavage, même si le mode de production n’était pas esclavagiste. C’était en Afrique que, des femmes Noires transformées en marchandise étaient livrées par des dignitaires africains,  à des commerçants musulmans et juifs au moins dès le 8ème siècle. Sans ces pratiques, le terrain n’aurait jamais été aussi favorable à la mise sur pied du vaste commerce d’êtres humains créé postérieurement par les négriers européens. 

Il n’est ni honnête ni crédible de se focaliser sur les crimes contre l’humanité ayant accompagné la traite des Noirs transatlantique faite par les chrétiens d’Europe pendant quatre siècles et demi environ, et dans le même temps passer sous silence les crimes contre l’humanité ayant accompagné la traite des Noirs faite par les Arabo-musulmans pendant douze siècles environ. Le droit de mémoire que nous revendiquons, ne peut plus faire l’économie d’un travail rigoureux et critique concernant l’histoire de l’asservissement en Afrique noire, entre l’arrivée des négriers arabo-musulmans  et l’arrivée des négriers chrétiens-européens.    

Dans tous les pays occupés ou colonisés, quelle que soit la latitude géographique, le rôle d’une grande partie des élites a toujours été celui des intermédiaires entre le peuple et les oppresseurs. L’Afrique n’a pas été une exception et cela fut le cas face aux négriers musulmans d’abord, face aux négriers chrétiens huit siècles plus tard et c’est le cas aujourd’hui face aux multinationales qui continuent à saccager le continent avec la complicité des dictatures mises en place et ou soutenues par les démocraties occidentales. 

En conséquence, la lutte pour mettre fin à l’oppression raciale, à l’aliénation culturelle, à toute sorte de discrimination et pour la dignité humaine, ne peut pas et ne saura pas se faire en dehors du combat contre l’exploitation économique de l’homme par l’homme. Autrement dit, la libération des peuples opprimés est incompatible avec la reproduction des structures du système d’exploitation capitaliste.     

Notre engagement avec la vérité  

  

Notre position se doit d’être sans complaisance, non seulement à l’endroit des oppresseurs venus d’ailleurs mais aussi envers leurs complices locaux, que ce soit dans le passé ou à présent. Cette démarche ne va pas de soi et parfois, à notre corps défendant, nous risquons de reproduire ce que nous critiquons chez nos ennemis. Or, dans le travail d’accès à notre mémoire, nous avons un devoir de vérité qui nous oblige à assumer l’ensemble de notre histoire avec tout ce qu’elle a de glorieux et de moins glorieux. 

  

La période comprise entre le 8ème et le 16ème siècle, que nous revendiquons comme une époque glorieuse de l’Afrique, mérite bien d’être souligné car cela fut en effet une période florissante à plusieurs égards. Mais, par respect pour la vérité et pour les victimes, il nous faudrait assumer aussi que pendant cette période florissante, une certaine Afrique était déjà  pourvoyeuse d’esclaves destinés aux pays de l’empire musulman.   

Des potentats africains vendaient d’autres Africains à des commerçants arabo-musulmans et à des commerçants juifs. Un cheval pouvait s’échanger contre six Africains et des femmes Noires étaient systématiquement transformées en machines reproductrices d’esclaves. Les érudits africains de cette période, scientifiques, théologiens, philosophes et humanistes, non seulement se sont accommodés de la traite des Noirs et leur réduction en esclavage, mais, pour des raisons religieuses, ils ont bel et bien approuvé le principe.   

Même Ahmed Baba, unanimement considéré comme le plus fameux parmi tous les érudits de Tombouctou, «a été la caution morale, intellectuelle et juridique de la mise en esclavage de toute personne, exceptés ses coreligionnaires».6. Ce qui montre à quel point l’islamisation, comme plus tard, la christianisation, a été funeste pour l’Afrique noire. Nous pouvons regretter que cet homme, juriste éminent, écrivain prolifique et référence incontournable ayant vécu entre 1556 et 1627, soit aussi ce que Coulibaly a défini comme « un paradigme à la fois de ce qui est l’intériorisation du principe esclavagiste chez l’être humain, comme Bilal, mais encore, de ce qui est la légitimation canonique de l’esclavage par un Noir en pleine période de la traite négrière ».7 

Conclusion  

Ces choses doivent être dites par nous, et la solidarité raciale ou autre ne doit pas être un prétexte pour tricher avec la vérité. Dans ce combat contre l’exploitation économique, l’oppression raciale, l’aliénation et pour la libération des peuples opprimés, nous n’avons pas à composer avec les trahisons et les complicités de tant de notables et autres profiteurs. Ces apatrides ont contribué et bénéficié de tous les malheurs de l’Afrique. Ils ont pratiqué l’esclavage, participé à la traite et collaboré avec la domination coloniale. 

A présent, ils continuent à se conduire comme des marionnettes au service des multinationales qui saccagent le continent. Il est temps de mettre fin à cet amalgame qui consiste à associer les victimes aux responsabilités de ces élites. Il faut arrêter d’identifier les opprimés avec les oppresseurs au seul motif que nous sommes tous des Noirs face à la suprématie blanche. Il n’y a pas grande chose en commun entre les peuples et ces dirigeants qui demeurent au pouvoir grâce et seulement grâce au soutien de leurs maîtres occidentaux. 

Il n’ y aura pas de Renaissance africaine aussi longtemps que ses meilleurs enfants sont persécutés et assassinés comme cela fut le cas de Patrice Lumumba, Amilkar Cabral, Sylvanus Olympio, Thomas Sankara, Ken Saro Wiwa et tant d’autres Africains qui ont payé de leur vie le choix de servir la cause du peuple. Parmi les enjeux de
la Renaissance africaine, il est prioritaire de mettre fin à une traite des Noirs qui, à une moindre échelle, continue toujours en Afrique. Il faut  que des Noirs cessent d’être réduits en esclavage sur leur propre continent. Et dans ce processus de libération, les femmes souvent transformées en machines reproductrices d’esclaves, ont un rôle fondamental à commencer par combattre les différentes formes d’asservissement favorisées par les religions dites révélées.   

  

  

1  Jacques Heers, Les négriers en terre de l’islam. La première traite des Noirs VIIè-XVIè siècles, Paris, 203. 

2  Bernard Lewis, Race et esclavage au Proche-Orient, Paris, 1993. 

3  Jacques Heers, Esclaves et domestiques au Moyen Âge dans le monde méditerranéen, Paris, 1981. 

4  Charles Verlinden, L’esclavage dans l’Europe médiévale, Tome 2, Paris, 1977, notamment dans le chapitre II La traite vénitienne et la traite juive, p. 115 et suivantes, et aussi le chapitre III La traite des eunuques, p. 981 et suivantes. Ce livre devenu introuvable en librairie, peut être consulté à la bibliothèque du Centre Pompidou et aussi à celle de
la Sorbonne.     

5  Plumelle-Uribe, La férocité blanche, Paris, 2001, p. 71-72, aussi J. L. Vissière, La traite des Noirs au siècle des lumières, Paris, 1982. 

6  Bassidiki Coulibaly, Du crime d’être « Noir », Paris, 2006, p. 73. 

7  Coulibaly, op. cit. , p. 72. 

Illustration : Esclave africaine américaine au 19ème siècle :  preserve.harvard.edu/…/page10.html

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  1.  
    fulele
    26 janvier, 2007 | 21:31
     

    je pose une question:

    est-ce, parcequ il ya demande qu ‘il y a offre,ou parcequ’ il y a offre qu’il y a demande ?

  2.  
    bay
    26 janvier, 2007 | 21:31
     

    Les vrais enfants de salauds sont nos dirigeants africains qui bradent nos pays aux blancs. Le our où nous serons assez fier et patriotique, aucun foutu blanc ne viendra nous emmerder.

  3.  
    fulele
    26 janvier, 2007 | 21:32
     

    je comprends ta révolte mais ts les blancs ne sont pas comme ceux à qui tu fais allusion.
    humainement parlant il ya des bons et des mauvais partout.
    il faut t’en prendre aux gouvernements occidentaux et non aux blancs en général.
    mais tu as raison de dire nos dirigeants africains qui bradent nos richesses aux pays occidentaux.

  4.  
    nathalie
    26 janvier, 2007 | 21:37
     

    honte o blancs ,o europeens ki considerent les noirs comme de la merde

  5.  
    ayao
    19 mars, 2007 | 21:36
     

    Désolé de lire des propos haineux, je suis blanc, je suis métis aussi parce que nous vivons dasn un monde de rencontres et donc de métissages. Je suis européen et je suis africain parce que mes amis sont africains et que j’aime tout ce que ceux-ci m’apportent. J’essaie de leur apporter de mon côté le meilleur de ce que je suis ou de ce que je colporte. Je me bats tant que je peux pour que le monde change, mais les forces archaïques des inerties sont partout, le mimétisme est partout, la méchanceté est partout. Et aussi je trouve que partout il y a des « Hommes » de bonne volonté.
    Je suis blanc et rien ne m’empêchera de me sentir au fond de mon âme attiré par d’autres valeurs, d’autres cultures, d’autres richesses. Rien pas même les peurs des uns et les haines des autres.

  6.  
    uhuru (fulele)
    19 mars, 2007 | 23:46
     

    en effet souhaitant que ton voeu, ton rêve se réalise.

  7.  
    23 juin, 2007 | 18:12
     

    je trouve que c’est e l’inconscience de la part des filles noiresd. elles croient que l’euyrope c’esla acilite. c’est du mepris de la part e ces blancs

  8.  
    17 janvier, 2008 | 15:35
     

    bravo pour ton blog sur l’afrique et merci d etre passe chez moi je suis une admiratrice de madagascar.

    Dernière publication sur le quotidien de la vie et des gifs : DEJA UN AN

  9.  
    H'Brown
    18 janvier, 2008 | 15:00
     

    je n’ai qu’un souhait: que l’Afrique, ou plutot que la misère de l’Afrik vienne faire un séjour d’une année en occiden, afin de se rendre compte que l’Eldorado c’est chez elle!